Intimidation et violences sexuelles : La CAQ réitère son engagement de doter le Québec d’un Protecteur de l’élève national et indépendant
Publié le 2 août 2018
L’actualité a récemment mis au jour de nombreux cas de mauvaise gestion en matière d’intimidation ou de violences sexuelles chez les jeunes de niveau primaire et secondaire, et des cas de parents qui n’ont personne vers qui se tourner dans de telles circonstances. Dans le cadre de la conférence de presse organisée par le mouvement « Québec contre les violences sexuelles » pour sensibiliser le gouvernement à mettre en place des mesures concrètes pour améliorer les processus de gestion lors de tels abus, la CAQ réitère son engagement de doter le Québec d’un véritable Protecteur de l’élève national, accessible à tous et indépendant.
Depuis près de deux ans, la Coalition Avenir Québec demande au ministre Proulx d’agir enfin et de créer un Protecteur de l’élève accessible, dans toutes les régions, et indépendant des commissions scolaires. L’objectif est d’assurer un traitement plus rapide, juste et équitable des plaintes, notamment pour les élèves du réseau privé. Le ministre Proulx et le Parti libéral ont fait le choix du statu quo. Résultat ? De nombreux parents d’élèves intimidés ou abusés sont laissés à eux-mêmes.
Si les électeurs du Québec octroient leur confiance à la CAQ le 1er octobre prochain, la formation politique de François Legault s’assurera qu’un Protecteur de l’élève, entièrement indépendant, soit enfin accessible pour tous les enfants et parents du Québec, incluant les élèves d’établissements d’enseignement privés.