Taxes scolaires : Philippe Couillard tente de justifier l’injustifiable


 Publié le 13 juin 2018
 

Au cours des deux derniers mois, le premier ministre a fait pour 38 milliards de dollars d’annonces électoralistes et recyclées, mais n’a rien prévu pour éliminer ou même diminuer l’iniquité entre les régions. Actuellement, des familles du Saguenay-Lac-Saint-Jean et de la Mauricie, par exemple, paient un taux de taxes scolaires trois fois plus élevé que d’autres régions du Québec, pour une maison de même valeur et pour des services éducatifs équivalents, a dénoncé mercredi le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

 

Le gouvernement Couillard défend l’iniquité entre les régions et est incapable de justifier la raison pour laquelle il pénalise certaines régions en regard des autres.Concrètement, les citoyens de ces deux régions acquittent une facture annuelle de 750$ pour une maison de valeur moyenne, alors ceux des Laurentides n’en déboursent que le tiers, soit un montant de 250$ pour une résidence comparable.

 

La Coalition Avenir Québec s’engage à mettre fin à la loterie libérale des taxes scolaires, en instaurant un taux de taxation scolaire unique à 10 cents du 100 $ d’évaluation, soit le taux le plus bas.

« Terminée, la loterie libérale!», réclame François Legault


 Publié le 26 avril 2018
 

La Coalition Avenir Québec a dénoncé, aujourd’hui, l’iniquité flagrante dans la réforme des taxes scolaires des libéraux de Philippe Couillard. François Legault a illustré qu’entre deux voisins à Terrebonne, assignés à deux commissions scolaires différentes, l’un, plus chanceux, payera un taux de 10 cents par 100$ d’évaluation foncière, tandis que le second acquittera une facture de 27 cents sur le même montant.

 

Interrogé aujourd’hui lors de la période de questions par le chef de la CAQ, François Legault, le premier ministre n’a pu, une fois de plus, donner la moindre explication susceptible de justifier ces importantes inégalités. Un gouvernement caquiste s’engage à rétablir l’équité, en appliquant le plus bas taux actuel de taxes scolaires à l’ensemble des régions du Québec.

Taxes scolaires : Les citoyens de la Mauricie sont en colère, dit François Legault


 Publié le 10 avril 2018
 

Alors qu’à Deschambault, une famille paiera en moyenne 300 $ de taxes scolaires, celle de Sainte-Anne-de-la-Pérade, à 20 minutes de distance, devra débourser 700 $ pour une maison de même valeur et pour des services éducatifs équivalents, a vivement dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Les citoyens de la Mauricie sont en colère, a indiqué François Legault, qui dénonce la loterie libérale des taxes scolaires. Avec le gouvernement de Philippe Couillard, les citoyens de la Mauricie sont facturés 31 cents du 100 $ d’évaluation, alors que juste à côté, dans Portneuf, les gens ne paient que 13 cents. C’est profondément injuste, a qualifié M. Legault, qui a aussi rappelé que la région de la Mauricie a vu ses taxes scolaires augmentées de 60 % depuis 5 ans.

Un gouvernement de la CAQ va réduire le taux de taxe scolaire à 10 cents dans toutes les régions du Québec. Selon le chef François Legault, tous les Québécois, de toutes les régions, méritent d’être traités équitablement. Une famille de la Mauricie n’a pas à être désavantagée en raison de son code postal.

Frais abusifs facturés par les commissions scolaires : La CAQ dépose un projet de loi pour mettre fin au bar ouvert


 Publié le 22 mars 2018
 

Pour que les pères et les mères de famille n’aient plus aucune surprise à chaque rentrée scolaire, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’éducation, Jean-François Roberge, a déposé jeudi le projet de loi 1093 qui vise à abolir une fois pour toutes les frais abusifs imposés par les commissions scolaires, en plus d’encadrer et de limiter l’ensemble des frais facturés aux parents.

Depuis trop longtemps, cette situation est tolérée par le gouvernement libéral. Ça va faire 15 ans que les libéraux sont au pouvoir et ils n’ont rien fait pour mettre fin à ces frais, a pesté Jean-François Roberge. Le ministre de l’Éducation a lui-même reconnu le problème et la nécessité de modifier la Loi sur l’instruction publique afin de protéger les familles. Devant l’inaction du gouvernement, la CAQ passe à l’action.

Le projet de loi déposé par la CAQ prévoit les mesures suivantes :

–       Interdire explicitement tout frais d’ordre administratif ;

–       Prévoir une uniformisation des coûts reliés au transport scolaire et aux services de garde en milieu scolaire. Il reviendra ainsi au gouvernement de fixer le montant maximal pouvant être réclamé aux parents afin de limiter la marge de manœuvre des commissions scolaires ;

–       Déterminer un mécanisme de plainte pour les parents qui se verraient facturer des frais ;

–       Obliger les commissions scolaires à rendre disponibles gratuitement les places disponibles dans le transport scolaire quand toutes les places ne sont pas occupées ;

–       Permettre aux parents d’instituer un « comité de parents du service de garde » au sein de leur école.

Rappelons qu’au cours des derniers mois, plusieurs parents d’élèves ont témoigné des frais abusifs que les commissions scolaires leur ont imposés, par exemple pour l’utilisation d’un micro-onde, l’ouverture d’un dossier, la surveillance des élèves du secondaire le midi et même pour les places libres dans les autobus. Le député de Chambly vient donc mettre un terme à ces absurdités grâce à son projet de loi.

Jean-François Roberge a dit souhaiter que son projet de loi soit adopté d’ici la fin de la présente session parlementaire, afin que les commissions scolaires soient mises au pas dès la rentrée de septembre 2018.

Taxe scolaire : les Québécois invités à calculer leur baisse de taxes sous un gouvernement caquiste


 Publié le 14 février 2018
 

La Coalition Avenir Québec poursuit son offensive dans le dossier des taxes scolaires en lançant le site Internet www.baissedelataxescolaire.com. En quelques clics, les familles du Québec peuvent calculer la baisse de taxes à laquelle elles auront droit advenant l’élection, en octobre prochain, d’un gouvernement de la CAQ dirigé par François Legault.

L’initiative lancée par la CAQ a pour objectif d’informer les Québécois sur la proposition caquiste, mais aussi de démontrer que la proposition broche à foin du gouvernement libéral génère des taux de taxe scolaire inéquitables d’une région à l’autre. Philippe Couillard accepte en effet que certains propriétaires paient beaucoup plus cher que d’autres pour une maison de la même valeur, seulement parce qu’ils résident dans une autre région.

Dans le premier mandat d’un gouvernement caquiste, tous les Québécois, peu importe où ils habitent, seront soumis au même taux de taxation, 10,5 cents par 100 $ d’évaluation foncière, soit le plus bas actuellement en vigueur. Sur www.baissedelataxescolaire.com, les contribuables peuvent voir par eux-mêmes les économies qu’ils feraient avec la proposition de la CAQ.

Réduction et uniformisation de la taxe scolaire sous un gouvernement de la CAQ


 Publié le 25 janvier 2018
 

Au terme du caucus présessionnel de sa formation politique, François Legault a annoncé qu’un gouvernement de la CAQ réduirait et gèlerait le taux de taxation scolaire au niveau le plus bas actuellement, soit 0,1054 $ par tranche de 100 $ d’évaluation foncière, sur une période de 4 ans. À titre comparatif, le taux établi par la Commission scolaire de Saint-Hyacinthe pour l’année 2017-2018 se situe à 0,34161, frôlant ainsi la limite de 0,35 permise par le Ministère de l’Éducation.

Pour les citoyens de la grande région de Saint-Hyacinthe, cette mesure caquiste représenterait une réduction de 69 % de la taxe scolaire. À titre d’exemple, le propriétaire d’une résidence évaluée à 250 000 $ se retrouverait à verser 264 $ à la Commission scolaire, comparativement au montant actuel de 854 $, une économie non négligeable de près de 600 $.

« Actuellement, avec un taux de 0,34161, nous figurons parmi les régions les plus taxées à travers le Québec… et on ne peut pas dire que nos écoles se portent mieux qu’ailleurs pour autant ! », a dénoncé Chantal Soucy. « Depuis l’arrivée du gouvernement libéral au pouvoir, il y a 15 ans, le montant récolté par les taxes scolaires a grimpé de 113 %, soit environ 1,2 milliard de dollars. Seulement au cours des 5 dernières années, les Québécois ont subi une hausse de 700 millions de dollars », a-t-elle déploré. « Actuellement, les libéraux font miroiter une baisse de taxe scolaire, mais encore une fois, certaines régions seront désavantagées. Ce qu’on propose, à la CAQ, c’est de ramener les revenus de taxe scolaire au niveau où ils se situaient avant l’arrivée des libéraux au pouvoir, en 2003 et d’établir une mesure équitable pour toutes les régions du Québec, afin que les taux ne soient pas arbitraires et que les familles ne soient pas pénalisées par leur lieu de résidence », a conclu la députée Chantal Soucy.

Cette mesure de la CAQ représenterait une baisse de taxe globale de 700 millions de dollars pour les familles du Québec, par rapport à la nouvelle promesse libérale.

La députée Lise Lavallée presse le gouvernement libéral à rembourser les familles de Repentigny


 Publié le 19 avril 2017
 

Trop-perçus d’Hydro-Québec

(REPENTIGNY, le 18 avril 2017) – La députée de Repentigny pour la Coalition Avenir Québec, Lise Lavallée, exige du gouvernement libéral de Philippe Couillard qu’il rembourse les trop-perçus qu’Hydro-Québec a facturés en trop aux consommateurs québécois au cours des huit dernières années.

Rappelons que la CAQ a révélé, il y a deux semaines, que la société d’État a surfacturé 1,4 milliard de dollars depuis 2008, une situation bien connue du gouvernement libéral, qui s’est même servie de cette surfacturation pour son retour à l’équilibre budgétaire. Pour la députée Lise Lavallée, il n’y a rien de surprenant dans cette histoire, puisque les libéraux n’ont cessé de piger dans les poches des familles québécoises depuis leur arrivée au pouvoir, en avril 2014.

« Le ministre Pierre Arcand et Hydro-Québec ont tous deux confirmé les chiffres de la CAQ, mais le gouvernement a fermé la porte à un remboursement. Non seulement il reconnaît qu’il a surfacturé les Québécois, mais il refuse de réparer son erreur. Quelle arrogance ! Le gouvernement de Philippe Couillard est complètement déconnecté de la réalité des familles de Repentigny, étouffées par les hausses de taxes et de tarifs libérales », a dénoncé Lise Lavallée.

La députée de Repentigny a ajouté qu’à travers le Québec, de plus en plus de familles peinent à payer leurs factures d’électricité dans les délais prescrits. Malheureusement, Repentigny n’échappe pas à cette tendance. D’ailleurs, en 4 ans, Hydro-Québec a augmenté de 11 % ses tarifs, a rappelé Mme Lavallée.

« Il est temps pour les libéraux de comprendre les difficultés de nos familles. Non seulement on a augmenté les tarifs de 11 % en 4 ans, mais on leur a imposé une taxe déguisée en surfacturant leurs factures depuis 8 ans. Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir ! À quand un remboursement des trop-perçus pour soulager nos familles ? » a lancé Lise Lavallée.

Hausse des tarifs d’électricité : Un autre cadeau des libéraux, dénonce la CAQ


 Publié le 27 octobre 2016
 

Depuis le dépôt du projet de loi 106 en juin dernier, la députée de la Coalition Avenir Québec, Chantal Soucy, a tenté tant bien que mal de faire entendre raison au ministre de l’Énergie, Pierre Arcand, quant à l’augmentation des tarifs d’Hydro-Québec qu’il accorde personnellement, puisqu’il compte utiliser Hydro-Québec pour financer des projets d’infrastructures liés à l’électrification du transport collectif.

Rencontres privées, questions au Salon bleu, présentation d’amendements : la porte-parole de la CAQ en matière d’énergie, Chantal Soucy, a talonné le gouvernement libéral jusqu’à la toute fin. Malheureusement, les libéraux ont forcé l’adoption des articles qui donnent le pouvoir à Hydro-Québec d’accorder des aides financières pour l’électrification des transports et de refiler l’ensemble de ces nouvelles dépenses aux Québécois.

« Le gouvernement libéral a d’abord nié mes soupçons. Par la suite, Hydro-Québec a confirmé que pour couvrir ces dépenses, “il faut ajuster les tarifs d’un certain pourcentage”. La porte était grande ouverte, mais aujourd’hui, elle est défoncée et il n’y a pas de retour en arrière. Parce qu’il n’a aucun plan économique, parce qu’il n’a aucune vision, le Parti libéral veut refiler la facture aux familles québécoises, déjà étouffées par leurs factures d’électricité. Le ministre Arcand veut le beurre et l’argent du beurre. Aujourd’hui, les libéraux démontrent une fois de plus leur vrai visage », s’est offusquée la députée Soucy, rappelant que le projet de loi 106 vise notamment le futur projet de train électrique montréalais de la Caisse de dépôt et placement du Québec.

La députée de Saint-Hyacinthe a dénoncé également la tentative du ministre Pierre Arcand, qui tente de faire croire à la population que la CAQ se prononce contre le projet de la Caisse, contre les transports collectifs, contre les énergies vertes et contre toute innovation. « La coupe est pleine ! Le gouvernement fait dérailler le débat. Ce que fait le gouvernement, c’est se laver les mains de toute décision budgétaire, pour ensuite poser avec le sourire aux lèvres dans les photos lors de cérémonies d’inauguration et s’en tirer en prenant tout le crédit. C’est de la vieille politique. Les Québécois s’en souviendront », a conclu Chantal Soucy.

Hausse des tarifs d’électricité : La CAQ dévoile un mémoire montrant la réelle intention des libéraux


 Publié le 4 octobre 2016
 

« Le ministre de l’Énergie, Pierre Arcand, ne pourra respecter son engagement de limiter la hausse des tarifs d’électricité à l’inflation puisqu’il a l’intention formelle d’inclure dans la base tarifaire d’Hydro-Québec le financement d’infrastructures électriques. » Telle est la révélation faite mardi à l’Assemblée nationale par la députée de la Coalition Avenir Québec, Chantal Soucy.

Critique en matière d’énergie, Mme Soucy a brandi au Salon bleu le mémoire présenté au Conseil des ministres par Pierre Arcand, le 19 mai dernier, dans lequel il explique les « implications financières » de son projet de loi 106. Signé de sa propre main, ce rapport gouvernemental confirme noir sur blanc que le financement de projets liés à l’électrification du transport collectif par Hydro-Québec « proviendra de l’intégration de l’aide financière à la base tarifaire d’Hydro Québec ».

« Encore une fois, nous avons droit à la bonne vieille façon de faire libérale : parler des deux côtés de la bouche! Depuis des mois, le ministre nous promet qu’il respectera sa promesse de ne plus hausser de façon abusive nos factures d’électricité. Or, dans le mémoire que j’ai obtenu, on apprend que ce sont bel et bien les clients d’Hydro-Québec qui paieront la facture de l’électrification des transports publics. C’est à la page 10, à la section “Implications financières”, signé : Pierre Arcand. On ne peut pas être plus clair! À un moment donné, ça va faire rire des Québécois », a fustigé Chantal Soucy.

La députée de Saint-Hyacinthe a invité le gouvernement libéral à refaire ses devoirs et à ne pas transmettre directement aux Québécois la facture de projets d’électrification du transport en commun, tel que le train rapide électrique de la Caisse de dépôt et placement. « Soyons clairs : tout le monde est d’accord avec le principe d’encourager l’électrification des transports. Mais une fois de plus, le manque de vision du gouvernement libéral nuit aux Québécois. Il n’est pas capable de présenter un projet de société ambitieux sans faire passer les contribuables à la caisse! Les libéraux donnent carte blanche à Hydro Québec pour hausser ses tarifs d’électricité grâce à ces nouvelles dépenses. Assez, c’est assez. Notre facture d’électricité a augmenté de 10 % en seulement 3 ans! » a conclu Chantal Soucy.

Rappelons que le projet de loi 106 accorde à Hydro-Québec le pouvoir d’octroyer des subventions en lien avec le financement d’infrastructures électriques et d’utiliser ces dépenses devant la Régie de l’énergie pour justifier ses demandes tarifaires.

Tarifs d’électricité : Les libéraux ouvrent la porte à une augmentation, dénonce la CAQ


 Publié le 19 août 2016
 

« De la pure hypocrisie libérale », s’insurge la porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’énergie, Chantal Soucy, face au projet de loi 106, qui ouvre la porte à une éventuelle augmentation des tarifs d’électricité dangereuse dans les années à venir.

Dans son projet de loi omnibus, le ministre de l’Énergie, Pierre Arcand, accorde à Hydro-Québec le pouvoir d’octroyer des subventions en lien avec le financement d’infrastructures électriques et de projets de transport collectif. Mais là où le bât blesse : l’autorisation donnée à Hydro-Québec par le gouvernement permettra à la société d’État d’utiliser ces dépenses devant la Régie de l’énergie pour justifier ses demandes tarifaires.

Pour la députée caquiste de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, le gouvernement libéral démontre une fois de plus sa fourberie et son insensibilité vis-à-vis une éventuelle augmentation des tarifs pour les Québécois. « Les libéraux profitent du projet de loi 106 pour donner à Hydro-Québec l’opportunité d’augmenter si elle le souhaite, en catimini, les tarifs d’électricité. C’est inacceptable! La réalité, c’est qu’Hydro-Québec est souvent instrumentalisée par le gouvernement. C’est dans l’ADN des libéraux que de fermer les yeux chaque fois qu’Hydro-Québec souhaite piger dans les poches des citoyens et nous avons la preuve flagrante aujourd’hui. Les Québécois n’en peuvent plus des hausses des tarifs. Depuis 10 ans, c’est une hausse de plus de 21 %, plus de 300 $ sur nos factures, que les libéraux et péquistes ont laissé passer. C’est assez! » insiste la députée de Saint-Hyacinthe.

La caquiste Chantal Soucy rappelle que le gouvernement Couillard s’est engagé noir sur blanc dans sa Politique énergétique 2030 à ne plus tolérer des hausses de tarifs d’électricité au-delà de l’inflation. Les Québécois s’attendent à ce que le gouvernement respecte sa parole et Mme Soucy compte bien s’en assurer. « Nous saluons le grand projet de train électrique, qui verra le jour grâce à la Caisse de dépôt et placement du Québec, mais on ne saurait tolérer que les contribuables, déjà aux prises avec un énorme fardeau fiscal, soient éventuellement appelés à payer pour le manque de vision économique des libéraux. Ce gouvernement est incapable de présenter un projet de société ambitieux, structurant, porteur d’avenir… sans devoir piger dans les poches des Québécois. C’est leur marque de commerce! » conclut la députée, qui réaffirme que la CAQ se portera toujours à la défense des contribuables.