Aidants naturels et aînés : la CAQ adoptera une véritable politique pour les proches aidants


 Publié le 30 mai 2018
 

Les députés de la CAQ dans Lanaudière souhaitent soutenir davantage les proches aidants et améliorer la qualité de vie des aînés. En accueillant nulle autre que Marguerite Blais, une grande alliée de la cause des aidants naturels, au sein de son équipe, le député de L’Assomption et chef de la CAQ, François Legault, a notamment profité de cette occasion pour annoncer qu’un gouvernement de la CAQ adoptera une véritable politique des proches aidants, une réalité qui touche près de 1,5 million de Québécois.

À cet effet, la CAQ s’assurera entre autres de la création d’une série de maisons Gilles-Carle au cours des prochaines années dans l’ensemble des régions afin d’assurer l’accès à des services de répit.

Pour lutter contre l’isolement social des aînés, François Legault propose de s’inspirer des pratiques du Dr Julien en matière de pédiatrie sociale et mettre sur pied plus d’initiatives en gériatrie sociale.

Alerte Silver : La CAQ veut s’inspirer d’autres états et créer une alerte pour les aînés disparus


 Publié le 26 avril 2018
 

Lorsqu’un enfant de moins de 18 ans disparait au Canada, une alerte Amber est rapidement déclenchée, puisque les premières heures suivant une disparition sont cruciales pour l’issue des recherches. Ce système a fait ses preuves, depuis 2003 au Québec, si bien qu’un gouvernement de la CAQ proposera un protocole d’alerte semblable, pour les ainés souffrant de déficience cognitive telle que l’Alzheimer.

Au Québec seulement, près de 125 000 personnes souffrent de cette terrible maladie ou d’un problème de santé mentale y étant apparenté. Pour François Paradis, porte-parole de la CAQ pour les aînés, des mesures concrètes doivent être mises en place pour s’assurer que ces personnes soient mieux protégées. Une alerte pour les aînés disparus existe déjà en Ontario, en Alberta, au Manitoba et dans une trentaine d’États américains et le temps presse pour que Québec en fasse autant, soutient le député de Lévis.

Gicleurs dans les résidences pour aînés : La CAQ exige une modification du programme d’aide


 Publié le 10 décembre 2017
 

En présence de quelques propriétaires de petites résidences, le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé et pour les aînés, François Paradis, a exigé que le gouvernement libéral modifie le versement de la subvention du programme d’aide pour l’installation les gicleurs.

Les résidences pour ainés doivent obtenir leur financement pour l’installation de gicleurs auprès d’institutions financières. Mais malgré le programme d’aide annoncé par les libéraux en 2015, elles éprouvent toujours beaucoup de difficultés à obtenir un financement et la subvention du gouvernement leur parvient beaucoup trop tard. Avec le changement proposé par la CAQ, lorsque les propriétaires auront les plans et les devis signés par un ingénieur et accepté la soumission d’un entrepreneur certifié, le gouvernement devra verser la subvention avant le début des travaux.

Le député de Lévis a soutenu que les résidences veulent assurer la sécurité des aînés. Mais, actuellement, le programme d’aide est trop rigide et mal adapté à la réalité des propriétaires, qui doivent entièrement financer les travaux avant un remboursement partiel. Or, ces travaux peuvent coûter entre 50 000 $ et 200 000 $ par résidence.

Selon des informations obtenues par la CAQ, en date du 12 octobre 2017, 902 résidences pour aînés ne sont pas encore munies d’un système de gicleurs contre les incendies, soit près de 50 % des résidences du Québec.

Un projet de loi pour améliorer la qualité de vie des proches aidants


 Publié le 8 juin 2017
 

La Coalition Avenir Québec a déposé, mercredi dernier, à l’Assemblée nationale, son projet de loi 796, Loi modifiant la Loi sur les normes du travail afin de faciliter le soutien aux proches, proposant les quatre mesures suivantes :

 

– Permettre à tout proche aidant de prendre 10 journées de congé par année, sans solde, pour fournir des soins ou du soutien à un proche, que ce dernier soit membre ou non de sa famille immédiate ;

– Permettre le fractionnement de ce congé, en demi-journées ou en heures ;

– En cas de maladie ou de blessure grave, faire passer de 12 à 17 semaines la période pour laquelle un employé qui agit comme proche aidant peut s’absenter ;

– Si cette maladie ou cette blessure comporte un risque de décès important, l’absence de l’employé peut être étirée à 28 semaines.

 

Pour la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, ce projet de loi répond à un besoin criant du milieu. « Au Québec, on estime qu’il y a plus de 1,2 million de personnes qui s’occupent d’un proche à autonomie restreinte et 60 % d’entre elles sont sur le marché du travail. J’ai visité les centres de soutien pour proches aidants à Saint-Hyacinthe. J’ai pu constater que les besoins sont grandissants et que les ressources sont limitées. Les proches aidants sont à bout de souffle. Ces gens consacrent leur temps, leur énergie et parfois même leur santé à prendre soin de leurs proches. Il est temps qu’eux aussi reçoivent l’aide dont ils ont besoin et que le marché du travail s’adapte à leur réalité. En ce sens, notre projet de loi est une avancée majeure, qui viendrait faire une vraie différence dans la vie de ces travailleurs », a déclaré l’élue caquiste.

 

Crédit d’impôt en raison de l’âge : François Legault talonne Philippe Couillard pour une 3e journée consécutive


 Publié le 16 février 2017
 

Pour une troisième journée consécutive, Philippe Couillard refuse de reconnaître l’insensibilité de sa mesure de reporter l’âge d’admissibilité au crédit d’impôt en raison de l’âge, mesure qui viendra frapper de plein fouet dès cette année nos aînés les plus vulnérables, a pesté le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

M. Legault a souligné que les changements apportés à ce crédit d’impôt s’appliquent à compter de 2016, ce qui signifie que ceux visés par le report de M. Couillard en subiront les conséquences d’ici le 30 avril en remplissant leurs rapports d’impôts. Or, M. Couillard refuse de revenir sur sa mauvaise décision, puisque dans sa pensée théorique, les aînés qui paient des impôts ne sont pas vulnérables.

« Mercredi, le premier ministre a dit une chose incroyable : “Ce sont les personnes qui ont des revenus qui théoriquement ont des crédits d’impôt, ce qui n’est pas le cas des aînés vulnérables”. Ainsi, les aînés qui paient des impôts ne sont pas vulnérables. Je lui rappelle qu’à partir de 15 000 $ par année, une personne paie des impôts ! Et à 18 000 $ par année, elle aurait droit à la totalité du 500 $ de crédit d’impôt qu’il a coupé. Donc, le premier ministre estime qu’un Québécois qui gagne 15 000 $ ou 18 000 $ par année n’est pas vulnérable. Il faut vraiment être déconnecté de la réalité pour penser cela ! » a déclaré François Legault.

Le chef de la CAQ a également sévèrement critiqué les propos tenus par Philippe Couillard, qui a soutenu que les aînés n’auront qu’à travailler plus longtemps. « Au lieu de travailler jusqu’à 65 ans, ils devraient continuer jusqu’à 70 ans, dit notre premier ministre. Il ne semble pas comprendre qu’il y a des aînés, surtout ceux qui ont occupé un emploi manuel, qui n’ont pas la santé pour travailler jusqu’à 70 ans. Plusieurs d’entre eux ont occupé des emplois physiquement exigeants, ont trimé dur toute leur vie. Leurs corps portent le fardeau de ce travail manuel dont tous les Québécois ont bénéficié. Tout le monde au Québec a compris que la mauvaise décision du premier ministre va affecter nos aînés les plus vulnérables. Tous, sauf lui. Qu’a-t-il besoin de plus pour comprendre qu’il doit reculer ? » a conclu François Legault.

*Mise à jour : Le ministre des Finances, Carlos Leitão, a finalement décidé d’annuler sa réforme mercredi en raison de la pression de la CAQ et des aînés du Québec.

Pour justifier sa réforme, Québec faisait valoir qu’il bonifie le crédit d’impôt pour les travailleurs d’expérience afin d’inciter les Québécois à demeurer sur le marché de l’emploi le plus longtemps possible.

Crédit d’impôt en raison de l’âge : Philippe Couillard refuse de reculer


 Publié le 15 février 2017
 

« Le premier ministre s’acharne à augmenter le fardeau fiscal de nos aînés. C’est indécent ! » a lancé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, qui a talonné une fois de plus Philippe Couillard quant à sa décision de hausser l’âge d’admissibilité au « crédit d’impôt en raison de l’âge » de 65 à 70 ans.

Décidément, le gouvernement libéral est déconnecté de la réalité des Québécois, a déploré M. Legault. Après avoir fouillé de toutes les façons possibles et imaginables dans la poche des contribuables et des familles québécoises, il cible maintenant les aînés, particulièrement ceux qui ont des revenus de moins de 33 000 dollars par ménage. Philippe Couillard doit faire marche arrière et comprendre l’indécence de sa proposition, a exigé le chef caquiste.

« Le premier ministre fait preuve d’une insensibilité navrante envers les personnes qui vont avoir 65 ans dans les prochains mois. En repoussant l’admissibilité du crédit d’impôt en raison de l’âge, le gouvernement va priver des milliers de personnes d’une somme pouvant atteindre 497 dollars. Ça peut paraître peu, mais pour des Québécois qui arrivent à cet âge sans revenu important, ça fait une énorme différence. On parle des gens qui souvent ont travaillé toute leur vie pour un salaire modeste et qui n’ont peut-être pas la santé pour continuer. Le premier ministre fait le choix de sacrifier des aînés qui ont souvent travaillé dans des conditions difficiles pour des revenus modestes », a déclaré François Legault.

Le député de L’Assomption a poursuivi en indiquant que le gouvernement a accumulé des surplus budgétaires de près de 2 milliards de dollars sur 8 mois. Cet équilibre, il le doit toutefois aux Québécois, qui sont étouffés par les hausses de taxes libérales depuis avril 2014. « Dans ce contexte, le premier ministre doit admettre que c’est indécent de confisquer des centaines de dollars aux personnes qui vont avoir 65 ans. Malgré les surplus, le gouvernement fouille encore dans leurs poches et augmente leur fardeau fiscal. Philippe Couillard n’a pas l’air de se rendre compte de la réalité que vivent les Québécois », a déploré M. Legault.

La CAQ exige deux bains par semaine en CHSLD pour les aînés qui le peuvent et le désirent


 Publié le 1 février 2017
 

« Le ministre Gaétan Barrette ne peut plus faire semblant que tout va bien dans les CHSLD. Ce n’est pas la première fois qu’on sonne l’alarme ! Pour nous, c’est clair : nos aînés méritent deux bains par semaine », a indiqué le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis.

Dans un rapport accablant dévoilé hier, le Protecteur du citoyen révèle qu’une vingtaine de résidants d’un CHSLD de Gaspé ne reçoivent aucun bain par semaine, et ce, depuis des années. D’autres de la région sont réveillés malgré eux aux petites heures du matin pour que le personnel puisse planifier leur journée. Ces cas sont hautement préoccupants, a dénoncé François Paradis, qui demande à Gaétan Barrette de poser des gestes concrets, notamment en établissant une norme officielle, soit celle d’offrir au moins deux bains par semaine pour les aînés qui le peuvent et qui le veulent. Cette suggestion est d’ailleurs appuyée par 81 % des Québécois.

« La situation n’est plus tolérable. S’il y a bien un groupe dans notre société qui ne mérite pas un tel traitement, ce sont bien nos aînés. Pourtant, le ministre Barrette pourrait établir une norme officielle, pour tout le réseau, afin que nos personnes âgées aient le droit d’obtenir les soins et les services nécessaires. À la CAQ, on pense qu’un bain par semaine, qui constitue présentement la norme officieuse, n’est pas suffisant. Nous devons permettre aux patients hébergés dans les CHSLD qui le demandent d’obtenir un bain supplémentaire », a déclaré François Paradis.

Pour le député de Lévis, ce dossier est avant tout une question de sensibilité humaine. Nos aînés méritent respect et dignité, a-t-il insisté. Or, lorsqu’il en est question, il faut dire que Gaétan Barrette n’a jamais particulièrement brillé par ses interventions, a souligné M. Paradis. « Gaétan Barrette a déjà soutenu que de laver quelqu’un à la débarbouillette est aussi efficace qu’un bain et que les aînés qui veulent un bain additionnel devraient faire appel aux entreprises d’économie sociale pour des services d’hygiène supplémentaires. À un moment donné, assez c’est assez. L’administration d’un minimum de deux bains par semaine doit devenir une norme nationale dans nos CHSLD. Il est temps d’adapter les services offerts à nos personnes âgées et leur redonner un peu de dignité », a conclu François Paradis.

Maltraitance envers les aînés : La CAQ exige la dénonciation obligatoire


 Publié le 17 janvier 2017
 

« La CAQ va se battre pour inclure dans le projet de loi 115 l’obligation de dénoncer la maltraitance envers les aînés, une disposition qui se retrouvait dans l’ancien projet de loi 399 de Marguerite Blais, mais qui vient d’être abandonnée par le Parti libéral du Québec. » Voilà ce qu’a déclaré le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de santé, François Paradis, à l’occasion de l’ouverture de la commission parlementaire visant à étudier le projet de loi 115 pour contrer la maltraitance envers les aînés.

Ce projet de loi manque de mordant et ne contient que des principes généraux, déplore François Paradis. « Nous nous attendions à un plan d’action plus costaud, plus ambitieux, avec des moyens concrets. Même l’ex-députée libérale Marguerite Blais, qui a fait du bien-être des aînés la raison de son engagement politique, reste sur sa faim ! Son projet de loi d’octobre 2013 allait déjà bien plus loin », souligne le député de Lévis.

La CAQ entend mettre de l’avant des mesures pour combler ce vide et assurer la sécurité de nos aînés. Elle proposera, entre autres :
– L’obligation de dénoncer toute forme de maltraitance envers les aînés ;
– Le dépôt immédiat du règlement et des modalités entourant l’installation des caméras de surveillance, afin de guider les résidents qui désirent en placer dans leur chambre ;
– L’assurance que toutes les ressources seront disponibles dans les établissements de santé pour que la loi puisse être appliquée ;
– L’ajout d’amendes pour tous ceux qui contreviennent à la loi.

Aujourd’hui, d’autres groupes exigent aussi que la dénonciation de la maltraitance envers les ainés soit inscrite dans le projet de loi. C’est le cas du Conseil pour la protection des malades, de l’Association québécoise des retraité(e)s des secteurs publics et parapublic et de l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées, se réjouit François Paradis. « Fini les promesses non tenues et les paroles dans le vide : je veux des gestes concrets. Nos aînés doivent être traités avec toute l’attention, le respect et la dignité qu’ils méritent. La maltraitance commise envers nos personnes aînées est un véritable fléau social qui doit être détecté précocement, pour ensuite l’éradiquer complètement. Travaillons ensemble pour que plus aucun cas ne survienne au Québec », conclut le député de Lévis.

Alimentation de nos aînés : La CAQ réclame une révision de la politique alimentaire en CHSLD


 Publié le 23 octobre 2016
 

« Fini les patates en poudre, nos aînés qui vivent en CHSLD méritent mieux que ça », a tonné dimanche le caquiste François Paradis qui, accompagné d’un représentant de la Fédération de l’âge d’or du Québec et avec le soutien du Conseil pour la protection des malades, exige une révision en profondeur immédiate de la politique alimentaire dans les CHSLD du Québec.

Le député de la Coalition Avenir Québec déplore le fait que des aînés qui vivent dans des centres d’hébergement ne reçoivent pas des repas de qualité. À ses yeux, rien ne justifie que les budgets des CHSLD soient trop serrés pour offrir des repas nutritifs, diversifiés, appétissants et adaptés à cette clientèle vulnérable.

« Plutôt que de dénoncer cette situation et d’intervenir auprès des établissements, les ministres Gaétan Barrette et Francine Charbonneau ont toléré cette pratique, en qualifiant les menus dans les CHSLD de “complets” et d’“adéquats”. Or, selon des documents du ministère de la Santé, le budget moyen pour l’achat des aliments dans les CHSLD est de 2,14 $ par repas! À certains endroits, ce budget est aussi pauvre que 1,35 $ par repas. Ce qui est injustifiable! La CAQ exige une révision immédiate de la politique alimentaire dans les CHSLD du Québec. On réclame donc une augmentation de 2 $ du budget par repas pour l’achat des aliments dans les CHSLD, pour ainsi le porter à 4,14 $, soit plus haut que le seuil minimum établi par l’Ordre des diététistes du Québec », a déclaré François Paradis.

François Paradis propose plusieurs autres pistes de solution au gouvernement pour améliorer de façon significative les repas de nos aînés dans les CHSLD, notamment :

– doubler le budget dédié à l’achat des aliments;
– d’établir un coût minimal à respecter pour les repas;
– d’implanter un dépistage systématique de la dénutrition et une norme de diététiste/nutritionniste par résident comme en Ontario;
– d’augmenter le nombre d’employés pour superviser les repas;
– maximiser l’achat local pour nos agriculteurs.

« J’invite les citoyens à mettre de la pression sur le gouvernement du Québec. Il est temps que ça bouge, pour redonner à nos aînés la dignité et le respect qui leur reviennent », a poursuivi François Paradis, invitant les Québécois à se rendre en grand nombre sur le site Web www.aidonsnosaines.com sur lequel ils pourront signer une pétition pour dénoncer le triste sort réservé aux aînés sous le régime libéral.

« Nos aînés méritent mieux », selon François Paradis et Éric Lefebvre


 Publié le 11 octobre 2016
 

« Nos aînés ont bâti le Québec d’aujourd’hui, il est donc primordial de s’occuper d’eux avec dignité. Ils méritent les meilleurs soins et les meilleures conditions », explique d’emblée le député de Lévis, François Paradis. Ce dernier a répondu sans hésitation à l’invitation du candidat de la CAQ dans Arthabaska, Éric Lefebvre. M. Paradis a tenu à accompagner M. Lefebvre afin de rencontrer les aînés des résidences Les Jardins du Parc Linéaire, du Couvent et Chartwell Notre-Dame.

« Il faut absolument changer la politique alimentaire dans les CHSLD, affirme Éric Lefebvre. La nourriture doit y être de meilleure qualité. De plus, les aînés méritent plus qu’un seul bain par semaine. À la CAQ, nous soutenons qu’il faut offrir un minimum de deux bains par semaine aux aînés qui le désirent. N’oublions pas que les défis sont grands. Il manque plus de 3000 places dans les CHSLD du Québec, c’est inconcevable. »

Par ailleurs, dans l’objectif de bien connaître les priorités et les besoins des aînés, Éric Lefebvre a notamment fait appel au conseiller municipal de Victoriaville, Denis Morin, ainsi qu’aux deux anciens conseillers municipaux, Jacques Gagnon et Bertrand Lambert. « Ils pourront me tenir informé de ce qui préoccupe les aînés de la région. C’est une priorité pour moi », ajoute M. Lefebvre.

François Paradis a également vanté les qualités d’Éric Lefebvre qui saura bien représenter les électeurs d’Arthabaska à l’Assemblée nationale. « Nous avons besoin d’un député comme lui qui a un passé d’entrepreneur et dont les résultats parlent d’eux-mêmes. Il a démontré des qualités indéniables de leader et de développeur. Son implication dans la communauté est remarquable à travers plusieurs organismes. Éric est un passionné de sa région et s’est entouré d’une solide équipe pour sa campagne. Vraiment, je suis impressionné par sa candidature, nous avons besoin de lui à Québec pour vous représenter », a souligné M. Paradis.

Réouverture de la rue Notre-Dame

Par ailleurs, Éric Lefebvre a assisté en début de journée à la réouverture de la rue Notre-Dame Est au centre-ville de Victoriaville. Pour lui, il était particulièrement important d’être présent à cet évènement, puisqu’il a œuvré à la revitalisation de ce quartier lorsqu’il était conseiller municipal et en tant qu’ancien président de la Société de développement du centre-ville de Victoriaville.

« Je tiens à souligner le travail des différents intervenants qui ont participé à ce projet de revitalisation essentiel pour la municipalité. Il reste encore des travaux à accomplir l’an prochain, mais on peut déjà constater à quel point le magnifique centre-ville ajoutera au dynamisme du Quartier Notre-Dame », conclut-il.