Élection partielle dans Gouin : Benjamin Bélair, un professeur de philosophie, candidat de la CAQ dans Gouin


 Publié le 30 avril 2017
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, est fier d’annoncer que Benjamin Bélair, professeur de philosophie au collège Montmorency, sera le candidat de sa formation politique à l’élection complémentaire de Gouin. Militant de la CAQ depuis la création de la formation politique, M. Bélair en est même le secrétaire de la Commission politique et il est également à l’origine de plusieurs propositions du programme de son parti.

François Legault estime que la présence de Benjamin Bélair vient contredire les clichés négatifs véhiculés à l’encontre de la CAQ par ses adversaires. « C’est clair, Benjamin représente la nouvelle génération de Québécois pour qui seule une coalition de tous les nationalistes nous permettra de progresser à l’intérieur du Canada. C’est aussi un résident de Gouin, qui fréquente les commerces de proximité de son comté, qui utilise les transports en commun et qui connaît les différents besoins de ses voisins.Benjamin est disposé à débattre avec tous ses adversaires, sauf avec les absents, évidemment. » Le chef de la CAQ a aussi blâmé la désertion du chef péquiste qui, dans son flirt avec Québec Solidaire, a choisi de ne pas présenter de candidat. « Jean François Lisée fait lui-même la démonstration que le PQ, c’est le passé », a constaté François Legault.

Benjamin Bélair est honoré de pouvoir représenter la CAQ dans Gouin. « J’ai choisi de mener cette bataille électorale, pour partager les idées et les propositions véhiculées par la Coalition Avenir Québec et, je l’espère, contribuer également à modifier certaines perceptions à l’égard de notre parti. Citoyen de Gouin et impliqué à la CAQ depuis plusieurs années, je veux permettre à mes concitoyens de constater que nos idées correspondent à leurs aspirations et à leurs attentes. Au cours des prochaines semaines, je m’appliquerai à faire connaitre nos principales propositions pour venir en aide aux familles québécoises. Parmi celles-ci, je vous rappelle que la CAQ réclame une baisse d’impôt de 1000$ par famille et veut offrir la prématernelle 4 ans à tous les enfants du Québec », a-t-il expliqué.

Biographie

Benjamin Bélair est professeur de philosophie au collège Montmorency depuis 2005. Il est également consultant en administration publique et secrétaire exécutif de la Commission politique de la Coalition Avenir Québec. Il est titulaire d’une maîtrise en philosophie, d’une scolarité de doctorat en philosophie, d’une maîtrise en science politique, d’une maîtrise en administration publique et d’une scolarité de doctorat en administration publique. Il a écrit plusieurs ouvrages pédagogiques et de nombreux articles universitaires.

Un nouveau député proche des gens


 Publié le 6 décembre 2016
 

La Coalition Avenir Québec se réjouit de l’élection d’Éric Lefebvre, nouveau député de la circonscription d’Arthabaska.

M. Lefebvre a recueilli près de 44% des voies, soit 17% de plus que son plus proche adversaire.

Le nouveau député d’Arthabaska a fait une campagne positive, d’idées, et compte se mettre au travail très rapidement pour faire des gains concrets pour sa circonscription.

Éric Lefebvre compte mener plusieurs dossiers de front, dont la reconnaissance régionale et le soutien aux producteurs agricoles.

« Nous avons eu droit à une grande victoire d’équipe. Je remercie tous les gens qui m’ont entouré ces dernières semaines. Tout au long de la campagne, je disais à quel point je serais honoré d’avoir le privilège de représenter les citoyens d’Arthabaska-L’Érable à l’Assemblée nationale. Je suis tellement fier d’avoir ce privilège aujourd’hui », affirme-t-il.

La CAQ tient aussi à souligner le travail remarquable des autres candidats qui ont mené de très belles campagnes, soit Bruno Laroche dans Saint-Jérôme, Ginette Marotte dans Verdun et Julie Chapdelaine dans Marie-Victorin.

Bruno Laroche, authentique et accessible


 Publié le 20 juillet 2016
 

La campagne pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme n’est toujours pas officiellement lancée. Cela n’empêche toutefois pas le candidat de la CAQ, Bruno Laroche, d’être actif sur le terrain et d’aller discuter avec les Jérômiennes et Jérômiens.

Celui qui est préfet de la MRC Rivière-du-Nord et président de la Table des préfets des Laurentides le martèle depuis l’annonce de sa candidature, la défense des intérêts des contribuables est une grande préoccupation quotidienne pour lui.

« J’ai discuté avec des centaines de personnes jusqu’à maintenant. Avec ces échanges enrichissants que j’ai eus et que j’aurai au cours des prochaines semaines, en plus des tâches qui m’ont été confiées au cours des dernières années dans le monde municipal, j’ai développé une très bonne connaissance des enjeux qui sont chers aux citoyens de la région. Je crois être la personne la mieux placée pour représenter les citoyens et les citoyennes de Saint-Jérôme. Leurs préoccupations sont les miennes. Je vais me battre à l’Assemblée nationale pour qu’elles soient entendues à Québec », explique-t-il.

Bruno Laroche a notamment discuté avec Lyne Chaloux, directrice du COFFRET, sur les enjeux communautaires et d’immigration de la circonscription.

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Le candidat caquiste a aussi eu l’occasion de saluer les gens du Manoir du Vieux Moulin lors de leur souper BBQ, de visiter le Manoir Saint-Jérôme dans le cadre du café spécial, de participer à la danse en ligne des membres du Quartier 50+ sur la Place de la Gare et de visiter une entreprise innovante, Autobus Lion, avec François Legault et Jacques Duchesneau.

D’ailleurs, celui qui a été député de Saint-Jérôme de 2012 à 2014 en a profité pour donner son appui officiel à Bruno Laroche pour cette campagne.
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Registre des armes à feu : Hélène Girard annonce son opposition et obtient l’appui de Russel-Aurore Bouchard


 Publié le 31 mars 2016
 

À la lumière des échanges avec les électeurs de Chicoutimi et après avoir pris connaissance du projet de loi 64 du gouvernement Couillard, la candidate de la Coalition Avenir Québec dans Chicoutimi, Hélène Girard, a annoncé son opposition au registre des armes à feu, de même que l’appui de l’historienne Russel-Aurore Bouchard.

« J’ai voulu prendre le temps d’analyser la situation dans son ensemble avant de prendre une position éclairée. En sachant qu’il s’agit d’un dossier épineux, je ne voulais pas prendre une décision émotive. Les coûts liés à la création d’un registre des armes d’épaule m’inquiètent beaucoup. Le registre fédéral devait coûter au départ 2 millions de dollars. Dix ans après son entrée en vigueur, l’implantation du programme de contrôle des armes à feu a atteint 2 milliards de dollars. De plus, la démonstration qu’un autre registre aurait une influence sur le taux de criminalité ou le nombre d’homicides n’est pas faite », a expliqué Hélène Girard, tout en rappelant que seulement 2 % des crimes violents au Canada impliquent une arme à feu et que la plupart d’entre elles doivent déjà être enregistrées.

Un vote pour Hélène Girard, un vote contre le registre

La candidate s’est toujours jurée de représenter le plus fidèlement possible l’opinion des citoyens de Chicoutimi si elle est élue. Pour Hélène Girard, voter contre le registre des armes à feu s’inscrit parfaitement dans cette optique, puisque la grande majorité des électeurs rencontrés s’y oppose. Pour elle, cet enjeu devient littéralement l’enjeu principal de cette campagne partielle. « Dans l’isoloir, le 11 avril, les gens devront se poser la question suivante : est-ce que je veux une députée qui va porter le message de Chicoutimi à Québec ou une députée qui va imposer à Chicoutimi la ligne des vieux partis dictée à Québec ? Un vote pour Hélène Girard, ce sera un vote contre le registre » poursuit-elle.

Appui de taille pour la CAQ

Le positionnement de la Coalition Avenir Québec sur l’enjeu du registre des armes à feu a convaincu l’historienne Russel-Aurore Bouchard d’appuyer publiquement Hélène Girard pour cette élection partielle. Selon elle, la CAQ est le seul parti qui met de l’avant une réelle démocratie. « J’ai attentivement étudié le positionnement du parti de François Legault sur cet enjeu. Pour moi, de permettre le vote libre aux députés de sa formation politique était un bon départ. Maintenant, de voir Hélène Girard se positionner contre le registre démontre qu’il s’agit du seul parti à véritablement vouloir porter la voix des gens de Chicoutimi à l’Assemblée nationale. Vous savez, j’ai songé à me présenter comme indépendante. J’ai reçu des milliers d’appuis pour ma candidature. Aujourd’hui, je demande à toutes ces personnes ainsi qu’à tous ceux qui sont contre le registre des armes à feu de voter pour Hélène Girard », conclut Mme Bouchard.