Fin de session parlementaire : La CAQ dresse le bilan de 15 années libérales


 Publié le 15 juin 2018
 

Un fort désir de changement souffle sur le Québec, après 15 années d’un gouvernement usé et fatigué. Lors de son point de presse clôturant la session parlementaire, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a d’emblée tenu à faire le bilan de ces 15 années libérales.

Entouré de ses député(e)s, François Legault a rappelé différents échecs des libéraux au cours des 15 dernières années, notamment en éducation, en santé et en économie. À la veille de l’élection, le chef de la CAQ a souligné que le Québec peut faire mieux dans ces domaines.

M. Legault s’est félicité d’avoir assumé le rôle de véritable opposition officielle à l’Assemblée nationale, d’avoir formé une équipe de candidats et de députés aguerris, et dont les Québécois seront fiers. Il a rappelé que rien n’est joué d’avance et que des efforts considérables restent à faire pour gagner la confiance des Québécois, qui sont désillusionnés après les 15 dernières années de copinage et de scandales libéraux, qui ont véritablement entaché le visage du Québec.

François Legault s’est dit convaincu que les Québécois sont murs pour un changement, prêts à tourner la page sur ces 15 dernières années.

Bilan de la 41e législature: un vent de changement souffle sur le Québec


 Publié le 15 juin 2018
 

Au terme de son premier mandat à titre de députée de Saint-Hyacinthe, c’est avec fierté, mais également avec un brin de nostalgie que Chantal Soucy dresse le bilan de la 41e législature de l’Assemblée nationale.

« Ce qui marque particulièrement cette législature, mais également ces quinze années de gouvernance libérale, c’est la pluie de réinvestissements qui s’abat actuellement sur les Québécois, à quelques mois des élections, après des années de vaches maigres », constate-t-elle. « Depuis deux mois, les libéraux s’abreuvent sans vergogne des milliards de dollars arrachés des poches des Québécois pour les redistribuer à des fins électoralistes. Après avoir annoncé, réannoncé et surannoncé de nombreuses stratégies, plans et politiques, le grand total de ce recyclage libéral atteint maintenant 38 milliards de dollars. Mais c’est trop peu trop tard! Des écoles qui tombent en ruine, des retards d’apprentissage chez nos jeunes, des patients qui n’ont pas eu les soins nécessaires et du surmenage chez nos infirmières et nos enseignants, rien de tout ça ne s’efface magiquement avec des réinvestissements électoralistes! », dénonce la députée de Saint-Hyacinthe. « Après 15 ans de règne libéral, notre taux de diplomation a chuté de 10 %. Alors que le Québec était au 4e rang des 10 provinces concernant le revenu disponible il y a 15 ans, il est aujourd’hui bon dernier, résultat de l’augmentation des taxes et tarifs de toutes sortes. Finalement, la dernière brillante idée du gouvernement aura été l’augmentation démesurée du salaire des médecins spécialistes pour conclure son bilan catastrophique en santé »!

La CAQ : l’espoir d’un changement

Mais si les 15 années de règne libéral ont été marquées par les compressions budgétaires, la mauvaise gestion des contrats publics, les scandales et le copinage, un vent de changement et d’espoir souffle désormais sur le Québec.

Au cours de la dernière session législative, la CAQ a su assurer le rôle de véritable opposition officielle, notamment, avec le dépôt de deux projets de loi visant à faciliter l’accès de tous les Québécois à un système de justice moderne et fonctionnel, ainsi que par la création d’un plan concret de valorisation de la profession enseignante, dans le but de libérer le plein potentiel du personnel enseignant et de favoriser la réussite scolaire. La CAQ s’est aussi engagée à réduire et uniformiser le taux de taxe scolaire au niveau le plus bas actuellement, soit 0,1054 $ par tranche de 100 $ d’évaluation foncière, sur une période de 4 ans. François Legault s’est d’ailleurs levé à plusieurs reprises en chambre afin d’exiger cette équité pour l’ensemble des régions du Québec.

En tant que porte-parole de la CAQ en matière d’énergie, Chantal Soucy s’est également portée à la défense des contribuables en dénonçant la volonté du gouvernement libéral de contraindre Hydro-Québec à signer un contrat avec le parc éolien de Port-Cartier qui représenterait une perte de 1,5 milliard de dollars pour les Québécois. Avec ses nombreuses interventions, elle a également porté le dossier visant à permettre aux entreprises actives dans la chaîne de blocs (dont l’entreprise Bitfarms, située à Saint-Hyacinthe) de prendre de l’essor et de contribuer à l’économie du Québec.

Très satisfait de cette dernière session législative, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a positionné son parti comme l’alternative pragmatique à un gouvernement usé: « Aujourd’hui, je veux dire aux Québécois qu’il y a un espoir. L’espoir d’un gouvernement qui va faire de l’éducation une vraie priorité nationale, qui va enrichir les Québécois, stimuler l’innovation, les investissements des entreprises et les exportations. Un gouvernement qui va remettre plus d’argent dans les poches des familles et des Québécois.  Le Québec peut faire mieux, faire plus, en éducation, en santé et en économie. C’est un engagement ferme!»

Bilan de l’année 2016: une année «hyperactive» pour le député Jean-François Roberge


 Publié le 21 décembre 2016
 

(CHAMBLY, le 13 décembre 2016) Plus que bien remplie, l’année qui se termine a été carrément hyperactive pour le député de Chambly Jean-François Roberge, qui a multiplié les grands projets, autant dans la circonscription de Chambly qu’en Éducation, dont il est porte-parole pour la Coalition Avenir Québec.

Éducation : Et si on réinventait l’école?

En éducation, l’année 2016 a été particulièrement productive pour le député de Chambly, porte-parole de sa formation politique en matière d’Éducation. Après une tournée du réseau de l’éducation qui l’a mené aux quatre coins du Québec, M. Roberge a été l’hôte d’Objectif réussite Québec, un sommet réunissant à Trois-Rivières les experts et les intervenants du monde scolaire québécois. L’année de Jean-François Roberge a aussi été marquée par la parution de Et si on réinventait l’école?, un essai sur le réseau de l’éducation québécois. Dans ce livre, unanimement salué par la critique, M. Roberge propose plusieurs solutions novatrices pour «réinventer» le réseau scolaire.

Suites aux nombreuses interventions de M. Roberge, certaines mesures ont depuis été reprises en totalité ou partiellement par le gouvernement libéral, telles la réintroduction des cours d’économie au secondaire et la présence d’au moins un jeune sur les conseils d’administration des sociétés d’État. D’autres propositions du député, comme la création d’un ordre professionnel des enseignants, la prématernelle 4 ans gratuite et offerte à tous et la scolarisation obligatoire jusqu’à 18 ans ou diplomation, figurent également à l’agenda du ministre de l’Éducation dans le cadre de sa consultation sur la réussite éducative. M. Roberge doute toutefois que le gouvernement aille de l’avant avec cette mesure, ainsi qu’avec des mesures-phare contenues dans son livre,  «parce qu’elles ne font pas consensus et que ça commanderait du leadership politique de la part du gouvernement. Or, avec le gouvernement Couillard, il faut baisser nos attentes!»

Course du député, distribution d’arbres, nettoyage des berges, assainissement de la rivière…

En parallèle, le député a continué de travailler pour les intérêts de ses concitoyens à l’Assemblée nationale et dans Chambly. En matière environnementale, M. Roberge a notamment organisé une opération de nettoyage des berges de la rivière Richelieu, en plus de tenir, fin novembre, une vaste consultation sur l’assainissement de la rivière et du Bassin de Chambly. De concert avec le COVABAR, M. Roberge a également procédé à la distribution de plus de 300 arbres aux citoyens de la circonscription. Celui-ci s’est également opposé à l’adoption du projet de loi 106 sur les hydrocarbures, «un projet de loi insidieux qui ne répond pas aux inquiétudes environnementales des Québécois», ainsi qu’au projet Énergie-Est, dont les paramètres actuels sont «tout simplement inacceptables».

Le député a aussi profité de l’année pour poursuivre son implication au sein de la communauté. Mi-septembre, la traditionnelle Course du député Jean-François Roberge aura permis d’amasser près de 5 500$ pour le Carrefour Familial du Richelieu et le Centre d’interprétation des énergies renouvelables, deux organismes qui œuvrent auprès des jeunes et des familles de  la région. M. Roberge est également intervenu auprès de différents ministères afin d’obtenir des aides financières spéciales à la demande de plusieurs organismes, dont la FADOQ de Chambly pour la réfection de la toiture de la salle des Aînés et Concept B pour l’organisation du Festival Bières et Saveurs de Chambly. De concert avec ses collègues de la CAQ, M. Roberge a aussi contribué à l’adoption, début novembre,  d’une motion de l’Assemblée nationale réclamant un meilleur financement des organismes communautaires.

Voir grand  pour la circonscription de Chambly

Jean-François Roberge a aussi profité de l’année 2016 pour poursuivre le travail dans des chantiers majeurs pour la circonscription de Chambly – ou pour en démarrer des nouveaux. Ainsi, avec le soutien de plusieurs acteurs du milieu, Jean-François Roberge a officiellement lancé les démarches en vue d’ajouter les secondaires 4 et 5 à Chambly. Tout juste avant la fin des travaux parlementaires, le député a d’ailleurs déposé une pétition approchant les 2 500 signataires à cet effet. «Les secondaires 4 et 5, c’est essentiel pour le développement de Chambly et des environs. Ça fait l’objet d’un large consensus au sein de notre communauté. J’ai présenté notre demande tout de suite après le dépôt de la pétition au ministre Proulx. Nous continuons notre travail dans ce dossier», explique le député.

Jean-François Roberge a aussi continué le combat en faveur de l’élargissement de la Route 112 entre Chambly, Carignan et Saint-Hubert. Le député a notamment pu mettre la main sur un rapport accablant commandé par le ministère des transports –et ce, malgré son refus de le lui transmettre – qui atteste de l’urgence d’agir rapidement afin de dégager cette artère. «Dans le rapport, il est écrit noir sur blanc que sans intervention rapide, les conditions de circulation sur la Route 112 vont devenir catastrophiques, autant sous l’aspect de la fluidité que de la sécurité routière. Sans intervention, on voit que les risques d’accidents de la route explosent pour les prochaines années. Qu’est-ce que le MTQ attend pour agir?»

D’ici la pause de Noël et du temps des fêtes,  le député compte aller à la rencontre des citoyens de la circonscription. «Être député, c’est se battre au quotidien pour les intérêts de ses concitoyens. Mais pour faire ça, il faut d’abord les connaitre. La relâche parlementaire hivernale est un moment privilégié pour se maintenir connecté avec les préoccupations de la population», conclut le député de Chambly. Si le député se dit fier du travail accompli, il se dit également «très optimiste pour l’année à venir!».

François Legault invite Philippe Couillard et Jean-François Lisée à sortir de leur bulle


 Publié le 9 décembre 2016
 

Accompagné de son caucus de député(e)s, le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a dressé le bilan de la dernière session parlementaire, vendredi matin, en soulignant le travail remarquable mené par son équipe au cours des derniers mois. Il a de plus souligné que la décision du premier ministre Couillard de proroger la session parlementaire et de remanier, encore une fois, son conseil des ministres est un aveu d’échec.

« En 2016, les Québécois ont réalisé que le Parti libéral et le Parti québécois vivent tous les deux dans leur bulle, loin des préoccupations de la population. En 2017, j’invite M. Couillard et M. Lisée à sortir de leurs bulles et à se reconnecter sur ce que souhaitent les Québécois », a déclaré M. Legault.

La bulle libérale

Philippe Couillard a démontré qu’il n’est pas le moindrement intéressé à entendre les préoccupations de la population. Refus de baisser les impôts des familles, refus d’interdire les signes religieux pour les personnes en poste d’autorité comme les policiers et les juges, refus de reconnaître les torts du Parti libéral dans les histoires de magouilles : Philippe Couillard est le seul à penser qu’il a sauvé le Québec, a indiqué le chef caquiste. « Quand c’est rendu que Philippe Couillard se prend pour le sauveur du Québec au lieu d’écouter la population, on comprend que la bulle libérale est dans la stratosphère », a souligné François Legault.

Au sujet des rumeurs de prorogation et de remaniement ministériel, il a rappelé que « l’an dernier, M. Couillard a remanié son cabinet en disant que dorénavant, son navire gouvernemental allait voguer vers des eaux plus tranquilles. Le nouveau départ, c’était supposé être l’an passé. Là, il en fait un à chaque année. C’est le jour de la marmotte ! De toute façon, c’est dur de faire avaler des nouveaux départs alors que les libéraux sont au pouvoir depuis 2003. Les Québécois ne seront pas dupes », a lancé François Legault.

La bulle péquiste

Jean-François Lisée doit cesser d’avoir toujours la prétention de savoir ce qui est bon pour les Québécois. Ses premiers gestes comme chef du PQ ont démontré à quel point il est détaché des angoisses financières des familles.

« Le premier geste de Jean-François Lisée, après sa nomination, a été de refuser des baisses d’impôts et de faire des avances à Québec Solidaire, au lieu d’écouter les Québécois. Et encore cette semaine, Jean-François Lisée a demandé à Philippe Couillard de tenir un débat télévisé d’une heure sur la souveraineté. J’imagine qu’on aurait des images en noir et blanc ! », a poursuivi le chef de la CAQ.

La force de l’équipe de la CAQ

Le chef de la CAQ a conclu son point de presse en soulignant la qualité exceptionnelle de son équipe de députés.

« Je suis tellement fier de cette grande famille de la CAQ. En 2014, plusieurs de nos députés n’avaient aucune expérience politique et n’étaient pas du tout connus des médias. Deux ans plus tard, les députés de la CAQ sont… partout ! Ils ont su talonner les ministres libéraux, mais aussi être constructifs en proposant des idées. Aujourd’hui, les gens n’ont pas le choix de reconnaître la solidité de l’équipe de la CAQ. En 2017, notre ambition c’est de passer du mode opposition au mode gouvernement en attente ! », a conclu François Legault.

L’émergence de la CAQ contraste avec un PLQ usé et un PQ déconnecté


 Publié le 10 juin 2016
 

La session parlementaire qui s’achève a été la session de l’émergence de la Coalition Avenir Québec. Accompagné de l’ensemble de ses député(e)s, le chef caquiste, François Legault, est heureux de constater que sa formation politique a solidifié sa position de véritable alternative face à un gouvernement libéral usé et fatigué, au pouvoir de façon presque ininterrompue depuis 2003.

De tous les combats, la CAQ est parvenue à démontrer qu’elle est constructive, ambitieuse, toujours au diapason des Québécois et de leurs préoccupations. « Le gouvernement libéral reste figé dans le passé et prisonnier de vieilles façons de faire qui ne fonctionnent plus. Cette session, on a découvert un gouvernement libéral en panne d’idées. Le premier ministre doit cesser d’être indifférent et insensible lorsque vient le temps de parler des enjeux qui touchent les Québécois. Il doit arrêter de regarder les choses de haut. De l’autre côté, ce n’est pas plus attirant. Le Parti québécois est encore et toujours plongé dans les vieilles chicanes sur la date du prochain référendum. Les Québécois en ont assez de ces histoires-là. Pendant ce temps, la CAQ est sur une lancée. Les Québécois ont maintenant une véritable alternative aux libéraux et je le dis sans nuance : nous serons prêts pour former le prochain gouvernement en 2018 », s’est exclamé François Legault.

Éducation

La CAQ a surpris, innové et dérangé le gouvernement à plus d’une occasion. Pensons, entre autres, à la proposition d’instaurer la prématernelle 4 ans pour tous les enfants et de rendre l’école obligatoire jusqu’à 18 ans ou l’obtention d’un diplôme. Sans vision pour notre système d’éducation, Philippe Couillard n’a pas tardé pour faire sienne cette idée ambitieuse de la CAQ, sans toutefois s’engager à la réaliser avant la fin de son mandat. « L’éducation doit être une priorité nationale. Ça fait 13 ans que les libéraux sont au pouvoir : 13 ans qu’on a arrêté d’investir en éducation. Ce n’est pas normal que le Québec ait un taux de décrochage deux fois plus élevé que celui de l’Ontario », a souligné le député de L’Assomption.

En économie, le gouvernement libéral n’a prévu aucune croissance des investissements des entreprises en 2016. Nous avons aussi assisté à la disparition de plusieurs sièges sociaux et à la perte de confiance des investisseurs. « Plusieurs libéraux ne reconnaissent plus leur parti avec Philippe Couillard. Le gouvernement libéral est carrément en panne d’idées! Il produit beaucoup de papier, mais très peu de résultats. Je répète mon message à Philippe Couillard : réveillez-vous! » a lancé François Legault.

Le chef de la CAQ ne peut passer sous silence le nuage sombre qui plane au-dessus du gouvernement Couillard : la gestion désastreuse du ministère des Transports, rongé par la manipulation, l’obstruction, les mensonges et l’intimidation. « On a vu un ministre libéral démis de ses fonctions, parce qu’il a eu le courage de dénoncer de graves problèmes internes. M. Couillard regarde le cynisme et la colère des citoyens monter, comme un spectateur. Les Québécois sont en colère, ils n’en peuvent plus et je tiens à leur dire que jamais je n’accepterai ça comme premier ministre », a conclu François Legault.