1,7 M$ pour le développement du secteur bioalimentaire en Outaouais


 Publié le 13 juillet 2023
 

 Le gouvernement du Québec confirme un financement de plus de 1,7 million de dollars dans le cadre du renouvellement de l’Entente sectorielle de développement du secteur bioalimentaire de l’Outaouais 2022-2025. Cette entente vise à mobiliser l’ensemble des partenaires du milieu et à mettre en œuvre de projets qui tiennent compte des particularités régionales de la région.

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, M. André Lamontagne, en a fait l’annonce aujourd’hui en marge d’une tournée régionale en Outaouais. Il était accompagné pour l’occasion du député de Gatineau, M. Robert Bussière, et de la députée de Hull, Mme Suzanne Tremblay.

Les montants octroyés par le gouvernement du Québec sont répartis de la manière suivante :

  • 857 500 $ du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ);
  • 500 000 $ du ministère des Affaires municipales et de l’Habitation (MAMH);
  • 300 000 $ du ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE);
  • 90 000 $ du ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale (MESS).

Au total, l’entente permettra d’injecter 2 206 500 $ à l’économie de la région, sur une période de trois ans, grâce à la contribution des partenaires régionaux, soit le Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Outaouais (CISSSO), Tourisme Outaouais, la Fédération de l’UPA Outaouais-Laurentides (FUPAOL) ainsi que les quatre MRC de la région et la Ville de Gatineau.

« Notre gouvernement est heureux de renouveler son soutien au bénéfice du développement bioalimentaire de l’Outaouais. Les effets de la concertation au sein d’un territoire ont déjà été démontrés. En tenant compte des dynamiques uniques de l’Outaouais et en adaptant les interventions aux spécificités des territoires, on favorise l’émergence de projets qui ont toutes les chances d’assurer la prospérité de la région. »

André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec

« Je suis fière du renouvellement de cette entente qui mise sur la collaboration entre les partenaires de l’industrie et les acteurs du milieu. Celle-ci est essentielle pour favoriser la vitalité et le rayonnement de nos régions. Les projets structurants soutenus par le biais de l’entente auront des retombées sur les plans environnemental, économique, social et touristique en plus de mettre en lumière les producteurs de l’Outaouais et leurs produits. Félicitations à tous! »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean

« Je salue le renouvellement de cette entente qui aura un impact sur le marché de l’emploi. En développant des initiatives concertées au sein d’une région, on contribue à créer des milieux de travail stimulants, qui donnent un sens à l’engagement professionnel des citoyens. »

Kateri Champagne Jourdain, ministre de l’Emploi et ministre responsable de la région de la Côte-Nord

« Les gens d’ici sont dynamiques, engagés et travaillants. Les initiatives qu’ils soumettront le reflèteront assurément et leurs effets positifs rejailliront sur la collectivité. Je salue la mobilisation de tous les partenaires. Votre synergie enrichit la communauté et favorise l’essor de l’Outaouais. »

Mathieu Lacombe, ministre de la Culture et des Communications, ministre responsable de la Jeunesse et ministre responsable de la région de l’Abitibi-Témiscamingue et de la région de l’Outaouais

« La Table agroalimentaire de l’Outaouais administre fièrement cette entente, car elle constitue un important levier de développement pour le secteur bioalimentaire de l’Outaouais. En effet, elle rassemble des partenaires sectoriels et territoriaux afin de soutenir des projets qui répondent aux besoins et aux préoccupations des entreprises. Cette entente nous permet de travailler collectivement à la mise en place de systèmes bioalimentaires durables en Outaouais. »

Chantale Vaillancourt, présidente de la Table agroalimentaire de l’Outaouais

Faits saillants

  • L’Entente sectorielle de développement du secteur bioalimentaire de l’Outaouais 2022-2025 permet de continuer d’assurer, de façon concertée, la mise en œuvre de projets en lien avec le Plan de développement bioalimentaire de l’Outaouais 2020-2025.
  • Cette planification est en cohérence avec les priorités des cinq plans de développement de la zone agricole de l’Outaouais.
  • La gouvernance de l’entente sera assurée par un comité de gestion formé d’un représentant de chacune des parties : le MAPAQ, le MAMH, le MEIE, le MESS, le CISSSO, Tourisme Outaouais, la FUPAOL, les quatre MRC de la région (Les Collines-de-l’Outaouais, Papineau, Pontiac, La Vallée-de-la-Gatineau) et la Ville de Gatineau. La Table agroalimentaire de l’Outaouais agira à titre de gestionnaire du fonds et aura comme mandat d’administrer les sommes versées par les signataires.
  • L’entente, d’un montant total de 2 206 500 $, fait l’objet d’un engagement accru du milieu :
    • MAPAQ : 857 500 $ par l’entremise du programme Territoires : priorités bioalimentaires;
    • MAMH : 500 000 $ provenant du volet Soutien au rayonnement des régions du Fonds régions et ruralité;
    • MEIE : 300 000 $;
    • MESS : 90 000 $ en vertu de la mesure Concertation pour l’emploi;
    • Ville de Gatineau : 75 000 $;
    • Les quatre MRC : 264 000 $;
    • Tourisme Outaouais : 60 000 $;
    • FUPAOL : 30 000 $;
    • CISSSO : 30 000 $.

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157 M $ pour l’autonomie alimentaire du Québec


 Publié le 20 novembre 2020
 

Le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, M. André Lamontagne, dévoile aujourd’hui les mesures qui seront prises pour accroître l’autonomie alimentaire du Québec. Ces mesures vont permettre au secteur bioalimentaire de participer activement à la relance économique du Québec, notamment par la création de 3 800 emplois. Cette annonce fait suite à la mise à jour économique du 12 novembre.

L’investissement de 157 millions de dollars vise notamment à améliorer la productivité des entreprises du secteur bioalimentaire québécois et à en augmenter le nombre. De plus, le gouvernement compte mettre à profit l’intérêt grandissant des Québécois envers les produits bioalimentaires d’ici pour augmenter leur part de marché. Cette nouvelle approche va créer 3 800 emplois supplémentaires dans nos régions. Le secteur bioalimentaire québécois sera un joueur clé de la relance économique en cours.

L’importance du secteur bioalimentaire a été mise à l’avant-plan dès le début de la pandémie de COVID-19. Bon nombre de consommateurs ont pris conscience de l’importance d’acheter local. Il est important pour le gouvernement de renforcer la capacité du Québec à alimenter ses citoyens et ses citoyennes avec des produits d’ici.

Accroître la production et la productivité

Les principaux facteurs limitatifs de la croissance des secteurs agricoles et de la transformation alimentaire sont le manque de main-d’œuvre et leur productivité. Une somme de 92,5 millions de dollars sur deux ans servira à soutenir la croissance de l’offre alimentaire et à accroître leur productivité. Ces investissements vont générer des retombées significatives en emplois de qualité et en valeur ajoutée dans toutes les régions du Québec.

Les investissements en robotisation, en automatisation et en amélioration des standards de qualité dans les établissements de transformation alimentaire feront en sorte que davantage de produits agricoles québécois seront transformés chez nous.

Afin d’accélérer l’adoption de technologies et l’acquisition d’équipements pour augmenter la productivité agricole, l’aide financière octroyée par l’entremise de l’initiative ministérielle Productivité végétale sera bonifiée et sera plus accessible. Il sera dorénavant possible pour les entreprises agricoles de déposer des projets en tout temps et plus seulement lors de périodes déterminées.

Grâce à un investissement de 24 millions de dollars, La Financière agricole sera mise à contribution afin d’accélérer les investissements agricoles. Elle bonifiera significativement son niveau d’intervention dans des dossiers complexes et à risque élevé. S’y ajouteront 48 conseillers en financement, dont le mandat sera d’aller sur le terrain, dans l’ensemble des différents secteurs de production et régions, pour permettre la concrétisation de nouveaux projets d’investissement. Une attention particulière sera apportée aux entreprises en démarrage et aux secteurs émergents.

Le gouvernement entend investir pour développer les filières sectorielles qui ont un fort potentiel d’accroissement de l’autonomie alimentaire. Il soutiendra leur développement et renforcera la coordination entre les différents acteurs de ces filières, notamment la production et la transformation au Québec de fruits et de légumes, de bœuf ainsi que de céréales pour l’alimentation humaine.

Favoriser l’achat local

Ce sont 23,4 millions de dollars qui serviront à stimuler la demande pour les produits alimentaires du Québec et à inciter les Québécoises et les Québécois à privilégier les produits d’ici lors de leurs achats. Cette somme s’ajoute aux 12 millions de dollars déjà prévus.

Outre le soutien financier de 2,5 millions de dollars à Aliments du Québec annoncé en octobre dernier, un financement supplémentaire de 15 millions de dollars permettra d’intensifier les campagnes publicitaires et d’appuyer les marques « Aliments du Québec » et ses déclinaisons, notamment par l’ajout d’actions d’identification et de promotion en magasin ainsi que par la multiplication des initiatives de promotion en région.

Pour le milieu institutionnel, la Stratégie nationale d’achat d’aliments québécois, annoncée le 22 septembre, pourra profiter de 5,9 millions de dollars additionnels pour rejoindre un plus grand nombre d’établissements du réseau institutionnel (ex. : centres de petite enfance et garderies), pour bonifier le Répertoire des aliments québécois et pour augmenter l’aide aux entreprises pour accéder à ce réseau.

Le défi 12 $

Le gouvernement du Québec profite de l’occasion pour sensibiliser les Québécois et les Québécoises au pouvoir de leur geste d’achat. Si chaque ménage québécois remplace chaque semaine, à l’épicerie ou au restaurant, 12 $ de ses achats de produits étrangers par l’achat d’aliments du Québec, cela permet d’augmenter d’un milliard de dollars par année la demande auprès des agriculteurs, des pêcheurs et des transformateurs alimentaires québécois. C’est un geste simple qui peut amener de grands bénéfices pour notre économie.

« Le gouvernement croit au fort potentiel de notre secteur bioalimentaire. En encourageant les consommateurs québécois à acheter davantage de produits d’ici, nous soutenons notre relance économique, notamment par la création de 3 800 emplois. J’ai un message pour les Québécois : je leur lance le « défi 12 dollars ». En remplaçant pour 12 $ par semaine de nourriture produite ailleurs par des produits québécois, nous avons le pouvoir de faire grandir notre industrie bioalimentaire ainsi que l’économie de nos régions d’un milliard de dollars par année. Toute une contribution pour la prospérité du Québec ! »

M. André Lamontagne, ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation

Faits saillants

  • Au cours des derniers mois, d’autres mesures ont été annoncées pour accroître l’autonomie alimentaire, dont la Stratégie nationale pour l’achat d’aliments québécois et le Plan d’agriculture durable.
  • Mettre le cap sur l’autonomie alimentaire, c’est notamment :
  • Favoriser l’achat local par les achats institutionnels et par la promotion des aliments du Québec ;
  • Accroître l’offre québécoise par la croissance de la culture en serre, par l’appui aux filières à potentiel de croissance, par l’agriculture de proximité et par l’agrotourisme local ;
  • Renforcer la chaîne d’approvisionnement par l’aide à la productivité de la main-d’œuvre, à la robotisation, à l’automatisation et à l’innovation ;
  • Accélérer le virage écologique par un appui à la transition vers une agriculture, une pêche et une aquaculture durables.
  • L’autonomie alimentaire se transpose dans la Politique bioalimentaire par sa vision Alimenter notre monde avec un secteur bioalimentaire prospère, durable, ancré sur le territoire et engagé dans l’amélioration de la santé des Québécoises et des Québécois.

Lien connexe

Pour avoir plus d’information : https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/autonomie-alimentaire-du-quebec/

AGA de la Fédération des producteurs acéricoles : Le gouvernement doit s’inspirer de l’ambition des producteurs


 Publié le 30 mai 2018
 

En marge de l’Assemblée annuelle de la Fédération des producteurs acéricoles, Sylvie D’Amours, porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, a pris la parole devant les membres présents pour réitérer toute l’importance qu’ont les producteurs agricoles au sein de sa formation politique. La CAQ s’est d’ailleurs engagée, depuis sa création, à ne pas ménager les efforts pour faire du secteur agroalimentaire l’un des grands moteurs de notre économie.

 

Mme D’Amours a martelé, durant son discours, l’importance que l’État se dote d’objectifs ambitieux, fasse preuve de leadership et qu’il s’inspire de toute l’ambition et la passion qui habitent nos producteurs agricoles, afin de mieux tirer notre épingle du jeu sur la scène internationale.

 

La députée de Mirabel maintient que le marché agricole doit accroître ses exportations, investir en transformation alimentaire en misant sur l’innovation, renforcer l’identité québécoise autour de nos produits et améliorer l’empreinte écologique de l’agriculture, ultimement dans le but de rapprocher le consommateur du producteur.

Gestion de l’offre : La CAQ continuera de défendre tous les producteurs du Québec


 Publié le 18 avril 2018
 

La Coalition Avenir Québec réitère son engagement à défendre avec vigueur la gestion de l’offre. Depuis sa fondation, la CAQ a porté la voix de milliers de producteurs agricoles, et a défendu leurs intérêts afin de renforcer notre agriculture.

La porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, soutient que le système de gestion de l’offre est essentiel pour assurer aux producteurs agricoles d’obtenir un prix juste par rapport aux coûts de production qu’ils doivent défrayer au Québec. La députée de Mirabel a ajouté que le modèle de fermes familiales dont s’est doté la collectivité agricole dynamise nos régions et assure leur pérennité.

Mme D’Amours a rappelé que la CAQ a toujours fait du maintien de la gestion de l’offre un pilier de son programme en agriculture. Les récentes attaques du Parti Québécois et du Parti libéral du Québec, visant à laisser croire le contraire, ne font que témoigner de la panique généralisée qui s’est emparée de ces deux partis à l’approche des élections d’octobre prochain.

Règlementation sur les pesticides : La CAQ réclame une commission parlementaire


 Publié le 13 mars 2018
 

 À la suite des récentes révélations concernant le manque de transparence du Centre de recherche sur les grains vis-à-vis du ministère de l’Agriculture, la députée de Mirabel pour la Coalition Avenir Québec, Sylvie D’Amours, réclame une commission parlementaire pour se pencher sur l’enjeu des pesticides.

Depuis la présentation du nouveau règlement en matière de gestion des pesticides, de nombreux producteurs se disent écartés, au moment même où des soupçons de favoritisme planent et l’indépendance des agronomes est remise en question, a souligné Sylvie D’Amours.

La caquiste a dit partager l’inquiétude des producteurs agricoles, d’autant plus que le ministre de l’Agriculture n’était même pas présent lors de l’annonce du nouveau règlement sur la gestion des pesticides. Il est temps pour Laurent Lessard de reprendre le contrôle de son ministère et de mettre fin aux risques de conflits d’intérêts qu’amène la nouvelle réglementation.

Financiarisation des terres agricoles : Les libéraux bloquent un mandat d’initiative de la CAQ


 Publié le 8 février 2018
 

Malgré l’urgence d’accompagner la relève agricole, le gouvernement libéral a refusé, jeudi, un mandat d’initiative réclamé par la députée de Mirabel et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, visant à étudier sérieusement l’enjeu que représente la financiarisation des terres agricoles.

Pour le milieu agricole, c’est un dossier prioritaire, a déclaré Sylvie D’Amours, qui pense notamment à tous les jeunes agriculteurs qui démarrent et qui souhaitent devenir propriétaires de terres. L’achat de terres à des fins autres qu’agricoles contribue de plus en plus à la surinflation du prix des terres, ce qui pose de nombreux obstacles pour la relève, a-t-elle souligné.

La députée caquiste souhaitait donc une commission parlementaire afin d’aider les agriculteurs à faire face à ce nouveau contexte. Malheureusement, les députés libéraux Serge Simard (Dubuc), Paul Busque (Beauce-Sud), Norbert Morin (Côte-du-Sud), Germain Chevarie (Îles-de-la-Madeleine), Guy Bourgeois (Abitibi-Est) et Guy Hardy (Saint-François) ont unanimement refusé d’étudier le dossier.

Sylvie D’Amours n’est cependant pas étonnée : cela ne fait que prouver une fois de plus que l’agriculture, pour le Parti libéral, n’est pas prioritaire. La CAQ continuera de défendre les intérêts de tous les agriculteurs du Québec, particulièrement ceux de la relève.

Congrès de l’UPA : Un gouvernement de la CAQ agira en agriculture pour créer de la richesse partout au Québec


 Publié le 7 décembre 2017
 

Finis les comités, les tables d’experts, les forums et les consultations : un gouvernement de la Coalition Avenir Québec dirigé par François Legault, fera du domaine agroalimentaire un des plus grands moteurs de notre économie. Voilà le message qu’a lancé le chef de la CAQ, François Legault, lors d’une allocution devant les membres de l’Union des producteurs agricoles, réunis en congrès mercredi.

Accompagné de sa porte-parole en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, François Legault a réitéré sa promesse de mettre sur pied un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture. Après près de 15 années de règne libéral, où tous les dossiers stratégiques ont pris la poussière, il est essentiel de stimuler la production et la transformation agroalimentaire par tous les moyens. L’aide promise par la CAQ permettra aux agriculteurs qui n’en ont pas les moyens de s’acheter de nouveaux équipements et d’augmenter ainsi leur productivité.

 Pour accompagner cette transformation et percer de nouveaux marchés, il faut aider nos producteurs à innover et à saisir les opportunités d’affaires. Or, sous les libéraux, le Québec est en train de prendre un retard considérable par rapport au reste du Canada, a déploré le chef de la CAQ.

 Legault s’est également engagé à créer un département chez Investissement Québec spécialisé en agriculture, qui aidera les projets au mérite, ainsi qu’à obliger les institutions publiques qui offrent un service alimentaire de s’approvisionner d’abord auprès des producteurs locaux.

Congrès de l’UPA : Un gouvernement de la CAQ agira en agriculture pour créer de la richesse partout au Québec


 Publié le 6 décembre 2017
 

Finis les comités, les tables d’experts, les forums et les consultations : un gouvernement de la Coalition Avenir Québec dirigé par François Legault, fera du domaine agroalimentaire un des plus grands moteurs de notre économie. Voilà le message qu’a lancé le chef de la CAQ, François Legault, lors d’une allocution devant les membres de l’Union des producteurs agricoles, réunis en congrès mercredi.

Accompagné de sa porte-parole en matière d’agriculture, Sylvie D’Amours, François Legault a réitéré sa promesse de mettre sur pied un fonds d’au moins 50 millions de dollars pour augmenter les investissements privés en agriculture. Après près de 15 années de règne libéral, où tous les dossiers stratégiques ont pris la poussière, il est essentiel de stimuler la production et la transformation agroalimentaire par tous les moyens. L’aide promise par la CAQ permettra aux agriculteurs qui n’en ont pas les moyens de s’acheter de nouveaux équipements et d’augmenter ainsi leur productivité.

Pour accompagner cette transformation et percer de nouveaux marchés, il faut aider nos producteurs à innover et à saisir les opportunités d’affaires. Or, sous les libéraux, le Québec est en train de prendre un retard considérable par rapport au reste du Canada, a déploré le chef de la CAQ.

M. Legault s’est également engagé à créer un département chez Investissement Québec spécialisé en agriculture, qui aidera les projets au mérite, ainsi qu’à obliger les institutions publiques qui offrent un service alimentaire de s’approvisionner d’abord auprès des producteurs locaux.

OGM : La CAQ réitère son appui à l’étiquetage obligatoire


 Publié le 7 novembre 2017
 

Alors que l’organisme Vigilance OGM déposait mardi une pétition signée par plus de 20 000 citoyens du Québec réclamant l’étiquetage obligatoire des organismes génétiquement modifiés (OGM), la porte-parole de la Coalition Avenir Québec (CAQ) en matière d’agriculture et députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, a réitéré son appui à une telle démarche et a invité le gouvernement libéral à bouger sur le dossier.

Les consommateurs sont en droit de savoir ce qui compose les aliments qu’ils consomment, peu importe leur provenance, a souligné Sylvie D’Amours, qui rappelle que l’étiquetage obligatoire des OGM figurait dans la plateforme électorale de la CAQ dès 2012. Il s’agit d’une question d’intérêt public qui bénéficie d’un large consensus dans la société. En 2017, il est inacceptable que le Parti libéral ne soit pas encore allé de l’avant avec cette mesure.

La députée de Mirabel a fait savoir que le Parti libéral s’était engagé en 2003 à rendre obligatoire l’étiquetage. Après près de 15 années de règne libéral, rien n’a été fait au ministère de l’Agriculture des Pêcheries et de l’Alimentation et ce sont encore une fois les consommateurs québécois qui sont pénalisés.

Agriculture : La députée Sylvie D’Amours renoue avec sa passion


 Publié le 16 octobre 2017
 

À la suite de l’arrivée dans le caucus de la Coalition Avenir Québec de la nouvelle députée de Louis-Hébert, Geneviève Guilbault, la députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, est fière d’annoncer qu’elle devient porte-parole de la CAQ en matière d’Agriculture, d’Alimentation et des Pêcheries, une responsabilité qu’elle a déjà occupée avec vigueur par le passé.

Pour Mme D’Amours, c’est un retour à son premier amour. Personnellement absorbée par les enjeux agroalimentaires, Sylvie D’Amours a toujours été habitée par cette passion. Faire de l’agriculture son principal cheval de bataille à l’Assemblée nationale est un honneur et une grande source de fierté et de motivation.

Bien qu’elle fasse un retour dans le dossier, la députée de Mirabel a tenu à faire savoir qu’elle n’a jamais cessé de parler aux agriculteurs et aux producteurs sur le terrain. Parti de l’économie et des familles, la CAQ continuera de les défendre, peu importe la région dont ils proviennent. Après près de 15 années de gouvernement libéral, tous souhaitent voir un changement positif dans ce secteur, essentiel pour le développement économique et la richesse collective du Québec.