Étape majeure de franchie en vue du déploiement d’un service de haute qualité pour nos enfants
Publié le 5 novembre 2019
Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean‑François Roberge, se réjouit de l’adoption du projet de loi no 5, Loi modifiant la Loi sur l’instruction publique et d’autres dispositions à l’égard des services de l’éducation préscolaire destinés aux élèves âgés de 4 ans, par l’Assemblée nationale du Québec, survenue plus tôt aujourd’hui.
L’adoption de ce projet de loi permet maintenant au gouvernement du Québec de concrétiser son engagement de rendre ce service de haute qualité accessible, mais non obligatoire, à tous les enfants du Québec sur un horizon de cinq ans.
Afin de mieux répondre à la demande de nombreux parents et d’offrir à davantage de jeunes l’accès à un service de qualité, et à la suite de demandes en ce sens formulées par les commissions scolaires, le ministre Roberge confirme également l’ouverture de seize classes de maternelle 4 ans de plus que prévu pour l’année scolaire 2019-2020, ce qui porte à 660 le nombre total de classes de maternelle 4 ans ouvertes cette année.
Il est important de rappeler que l’ensemble de ces classes ont été autorisées après que les commissions scolaires ont confirmé avoir les ressources nécessaires, notamment en termes de locaux, d’enseignants et d’éducatrices.
À la rentrée scolaire, plus de 7 000 élèves fréquentaient une classe de maternelle 4 ans.
« Après plusieurs mois de travail, je suis particulièrement fier de voir l’Assemblée nationale adopter aujourd’hui le projet de loi no 5 sur la maternelle 4 ans. Fier, parce que grâce à ce vote historique, nous serons en mesure de donner à des dizaines de milliers de jeunes supplémentaires un accès à des services éducatifs de qualité. Ce travail est déjà commencé et il se poursuivra maintenant partout au Québec au cours des prochaines années. Je tiens à saluer tous les intervenants entendus lors des auditions particulières ainsi que mes collègues parlementaires, grâce à qui nous avons pu bonifier le projet de loi, au bénéfice de tous les enfants du Québec. », a déclaré Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.