La ministre Chantal Rouleau part en tournée régionale


 Publié le 28 juin 2019
 

La ministre déléguée aux Transports, responsable de la mise en œuvre de la stratégie maritime et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, entamera, dès le 2 juillet prochain, une tournée dans l’ensemble des régions du Québec afin de rencontrer les acteurs du milieu maritime. Cette tournée a pour objectif de soulever les enjeux et de prioriser des interventions dans le but de répondre concrètement aux besoins régionaux à travers la nouvelle vision maritime du gouvernement du Québec.

« Berceau et colonne vertébrale du Québec, le Saint-Laurent doit être considéré dans sa globalité et nous devons miser sur son potentiel, encore sous-exploité, pour accroître le niveau de richesse des Québécoises et des Québécois. Cette tournée est donc l’occasion pour l’ensemble des acteurs du milieu de prendre part à l’élaboration d’une nouvelle vision visant à travailler en synergie et en complémentarité pour faire du fleuve un puissant vecteur de croissance économique, sociale et environnementale. », a déclaré Mme Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports, responsable de la mise en œuvre de la stratégie maritime et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal.

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13 M$ pour soutenir les membres des Premières Nations et les Inuit dans leurs démarches menant vers l’emploi


 Publié le 28 juin 2019
 

Afin de permettre aux membres des Premières Nations et aux Inuit de prendre leur place dans le marché du travail, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, confirme un investissement de plus de 13 millions de dollars par l’intermédiaire des Alliances pour la solidarité ainsi que du Programme d’aide à l’intégration en emploi des membres des Premières Nations et des Inuit (PAIPNI).

Financé à hauteur de 4,8 millions de dollars, le PAIPNI vise à aider 500 membres des Premières Nations et Inuit à intégrer le marché du travail d’ici 2023. En lien direct avec la Grande corvée 2.0, ce programme a pour but d’aider les membres des Premières Nations et les Inuit à acquérir une première expérience de travail significative et de favoriser leur maintien en emploi.

Le PAIPNI permet de financer jusqu’à 80 % du salaire brut de la personne qui en bénéficie et de couvrir jusqu’à 100 % des coûts directs liés à la formation. Il prévoit également des mesures d’accompagnement pour les personnes embauchées et du financement pour adapter le milieu de travail ou les outils en matière de ressources humaines pour une intégration réussie. La mise en œuvre du PAIPNI se fait de concert avec les membres des communautés concernées pour bien répondre aux besoins des travailleurs.

Les Alliances pour la solidarité permettent, quant à elles, aux organisations autochtones signataires de ces ententes, en collaboration avec leurs partenaires sur leurs territoires, d’aborder la lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale selon des priorités convenues en région, dont la persévérance scolaire et l’intégration professionnelle. Les investissements totaux à cet égard s’élèvent à 8,3 millions de dollars.

« J’encourage les membres des Premières Nations et les Inuit à poser leur candidature pour les emplois disponibles, puisque c’est en accédant au marché du travail qu’ils pourront faire bénéficier leurs communautés respectives de leurs talents et de leur savoir-faire. C’est ainsi que, par l’intermédiaire du PAIPNI et des Alliances pour la solidarité, nous mobilisons une main-d’œuvre disponible, réduisant les effets de la rareté de la main-d’œuvre sur l’économie du Québec. », a déclaré Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.

« Je me réjouis de cette annonce qui va permettre aux Premières Nations et aux Inuit d’intégrer le marché du travail. Les Premières Nations et les Inuit représentent une jeune main-d’œuvre dynamique dont les forces et les talents doivent être mis en lumière. En travaillant ensemble, nous contribuerons à relever le défi que représente l’enjeu de la pénurie de main-d’œuvre. », a souligné Sylvie D’Amours, ministre responsable des Affaires autochtones et ministre responsable de la région des Laurentides.

Faits saillants :

  • Le 13 mai dernier, le ministre Boulet a lancé la deuxième phase de la Grande corvée : la Grande corvée 2.0. Elle s’adresse directement aux travailleurs, alors que la première phase a pour objectif d’aller au-devant des besoins des entreprises pour les aider à faire face à la rareté de la main-d’œuvre.
  • Depuis le début de la Grande corvée 2.0, des mesures ont été annoncées pour rapprocher du marché du travail différents groupes sous-représentés : les travailleurs expérimentés (13 mai), les personnes handicapées (5 juin) et les membres des communautés autochtones (28 juin).
  • Le gouvernement poursuit, jusqu’en 2023, les Alliances pour la solidarité par trois ententes de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale signées avec l’Administration régionale Kativik, le Gouvernement de la nation crie et la Commission de la santé et des services sociaux des Premières nations du Québec et du Labrador, qui bénéficient respectivement de 2 millions, de 2,2 millions et de 4,1 millions de dollars.

Liens connexes :

Programme d’aide à l’intégration en emploi des membres des Premières Nations et des Inuit (PAIPNI)

Alliances pour la solidarité

Lancement du système Arrima


 Publié le 27 juin 2019
 

Le ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion, M. Simon Jolin-Barrette, est fier de procéder, lors d’une présentation devant une cinquantaine de personnes du milieu économique, au lancement du nouveau système de sélection Arrima.

Premières invitations

Le lancement officiel du processus des premières invitations par l’entremise d’Arrima représente un virage majeur dans le système d’immigration québécois. Ce nouvel outil permettra de mieux associer le profil des candidats à l’immigration aux besoins du marché du travail. Le Ministère profitera de cet exercice initial afin d’inviter les personnes qui :

  • avaient présenté une demande de certificat de sélection dans le Programme régulier des travailleurs qualifiés et qui séjournaient temporairement au Québec au moment de la présentation de cette demande ;
  • avaient présenté une demande de certificat de sélection dans le Programme régulier des travailleurs qualifiés et qui sont aujourd’hui sur le territoire québécois ;
  • détiennent une offre d’emploi validée par un employeur du Québec.
  • Les personnes qui répondent à la première et à la deuxième catégorie énoncée ci-dessus et qui souhaitent être invitées à présenter une demande de sélection permanente doivent d’abord déposer une déclaration d’intérêt par la plateforme en ligne Arrima. La déclaration d’intérêt est une étape simple et gratuite qui se fait en ligne et qui prend environ une heure à compléter.

Ce processus vise à concrétiser un engagement pris par le gouvernement lors des travaux entourant la Loi visant à accroître la prospérité socio-économique du Québec et à répondre adéquatement aux besoins du marché du travail par une intégration réussie des personnes immigrantes, le 28 février dernier. Cet engagement consiste à inviter prioritairement les candidats qui avaient déposé leur demande de certificat de sélection permanente alors qu’ils se trouvaient en sol québécois. Par l’attribution de la priorité à ceux qui répondent déjà à un besoin du marché du travail, le gouvernement répond directement à l’enjeu de la pénurie de main-d’œuvre qui touche l’ensemble des régions du Québec.

Une transition clé dans la réforme du système d’immigration au Québec

Le Ministère pourra désormais concentrer ses efforts sur le traitement des demandes de personnes qui, tout en présentant un fort potentiel d’intégration au Québec, répondent aux besoins du marché du travail. Pour ceux et celles qui souhaitent concrétiser leur projet de vie au Québec, la différence sera marquée, car le délai de traitement de leur dossier passera de trois ans à six mois, une fois leur demande de sélection permanente présentée.

Cette étape clé de la modernisation du système d’immigration offre les outils, mais surtout la latitude nécessaire au MIDI pour être réellement en phase avec les besoins actuels du marché du travail, notamment en modulant les critères d’invitation en fonction de l’évolution des besoins de main-d’œuvre et de la réalité de chacune des régions.

Portail employeur : mieux recruter

Lors de sa présentation, le ministre a également dévoilé une nouveauté offerte par la plateforme Arrima qui facilitera les démarches de recrutement des entreprises du Québec. Il s’agit de la première des deux phases du tout nouveau Portail Employeurs.

Cette interface permettra aux entreprises d’avoir accès aux caractéristiques socioprofessionnelles des personnes qui ont déclaré leur intérêt à immigrer au Québec. Des agents d’aide aux entreprises du Ministère accompagneront dans un premier temps les entreprises et les guideront dans leur recherche en mettant à leur disposition une liste de candidats potentiels pour répondre à leurs besoins spécifiques.

Les entreprises pourront par la suite, communiquer avec les candidats désirés, et leur offrir, s’il y lieu, un contrat de travail permettant d’amorcer les démarches d’immigration en sol québécois. Ce nouvel outil s’inscrit dans l’offre de services du MIDI qui prévoit un accompagnement de proximité aux entreprises par l’entremise des six directions régionales du Ministère et 40 points de service.

La deuxième phase du Portail employeur sera disponible dès février 2020.

« C’est avec satisfaction que je vois aujourd’hui le système d’immigration du Québec prendre le virage de la modernisation. Le système Arrima nous permet de mieux répondre aux besoins du marché du travail du Québec. Nous avons entendu et écouté les différents besoins dans l’ensemble des régions du Québec ainsi que ceux du milieu économique. L’immigration est l’une des solutions à la rareté de main-d’œuvre qui touche le Québec et nous nous assurerons que les personnes immigrantes qui choisissent de s’y établir seront en mesure de participer pleinement à la société québécoise, et ce à la hauteur de leurs compétences. Pour votre gouvernement, l’immigration fait partie de la réponse aux besoins des entreprises et des régions, et c’est une priorité. », a déclaré Simon Jolin-Barrette, ministre de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion.

Liens connexes :

Arrima : www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/fr/informations/arrima/index.html

Un Tunnel Québec-Lévis et un nouveau pont pour l’île d’Orléans


 Publié le 27 juin 2019
 

Le gouvernement du Québec confirme qu’un tunnel est la solution retenue pour la construction d’un nouveau lien entre Québec et Lévis et que l’infrastructure ne desservira pas l’île d’Orléans. Les travaux pour un nouveau pont à haubans, légèrement à l’ouest du pont actuel, poursuivent leur avancement.

La solution d’un tunnel est ressortie comme la meilleure option après différentes études, dont une analyse multicritères qui a pris en considération plusieurs éléments, notamment le transport, la circulation, l’environnement et l’économie. Le corridor d’implantation privilégié pour le nouveau tunnel se situe dans le prolongement de l’autoroute Félix-Leclerc (autoroute 40), du côté nord, et joint l’autoroute Jean-Lesage (autoroute 20) dans le secteur de la route Lallemand, à Lévis.

Visant toujours une première pelletée de terre au plus tard en octobre 2022, le ministère des Transports lancera aujourd’hui des appels d’offres afin de mener une étude d’impact environnemental ainsi que des études d’arpentage.

Parallèlement à ces actions, le ministre des Transports a demandé au bureau de projet du Tunnel Québec-Lévis de bonifier le mémoire d’avancement des travaux, devant être déposé au Conseil des ministres au plus tard le printemps prochain, avec une étude complémentaire d’un second tracé, lui aussi situé à l’est, mais plus près des centres-villes. Selon la volonté du ministre, cette étude comparative des coûts et opportunités sera rendue publique à la suite de son dépôt au Conseil des ministres.

« Plusieurs options ont été analysées et celle d’un lien exclusivement sous forme de tunnel s’est avérée la meilleure. Cette option évite l’augmentation de la circulation sur l’île d’Orléans, n’a pas de conséquences sur la navigation de la voie maritime et elle n’entraîne aucun retard pour la mise en service du nouveau pont de l’île d’Orléans. Cette solution est celle qui répond le mieux aux trois objectifs du projet, soit de réduire la congestion aux heures de pointe, de favoriser l’utilisation du transport collectif et d’optimiser le transport des personnes et des marchandises. », a déclaré François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l’Estrie.

« L’annonce d’aujourd’hui sur le Tunnel Québec-Lévis nous permet de maintenir le cap pour la réalisation de cet important projet et de débuter les travaux avant octobre 2022. Nous accomplirons ainsi un autre de nos engagements et démarrerons les prochaines étapes, dont l’étude d’impact sur l’environnement. Je suis ravie de la progression de ce grand projet mobilisateur qui permettra une amélioration importante de la mobilité dans la région de la Capitale-Nationale. », a indiqué Geneviève Guilbault, vice-première ministre, ministre de la Sécurité publique et ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale.

« L’implantation d’un lien à l’est avec des connexions aux autoroutes 20 et 40 permettra d’encourager le développement socio-économique de la région de la Chaudière‑Appalaches mais aussi de la Côte-Nord et de l’Est du Québec. Pensons aux avantages pour le transport et aux bénéfices pour les entreprises d’avoir ce nouveau lien qui accélérera l’attractivité et l’essor économique des régions du Québec. »,
a souligné Marie-Eve Proulx, ministre déléguée au Développement économique régional et ministre responsable de la région de la Chaudière-Appalaches.

Faits saillants

  • La solution retenue pour l’implantation du nouveau lien est le Tunnel Québec-Lévis.
  • Le corridor d’implantation privilégié pour le nouveau tunnel se situe dans le prolongement de l’autoroute 40, du côté nord, passe sous la pointe de l’île d’Orléans et se raccorde à l’autoroute 20 dans le secteur de la route Lallemand (kilomètre 330) sur la Rive-Sud.
  • La longueur approximative du tracé est de neuf kilomètres, incluant les approches du tunnel.
  • Les coûts estimés du projet seront connus lors du dépôt du dossier d’affaires.
  • La poursuite des études et des analyses permettra notamment de définir le nombre de voies, leur utilisation (voies réservées, covoiturage, transport collectif, camionnage, etc.), la configuration du tunnel et son emplacement optimal.
  • Le début des travaux est toujours prévu avant octobre 2022.


Liens connexes

Implantation d’un nouveau lien entre Québec et Lévis
Construction d’un nouveau pont à l’île d’Orléans

Davantage de moyens pour venir en aide aux personnes sans logement le 1er juillet


 Publié le 27 juin 2019
 

Le Conseil des ministres a adopté aujourd’hui une série de mesures qui permettront à la Société d’habitation du Québec de fournir plus d’outils aux offices d’habitation pour venir en aide aux personnes à la recherche d’un logement en cette période de l’année.

La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation, Mme Andrée Laforest, a annoncé la réactivation du Programme d’aide d’urgence 2005 aux ménages sans logis et aux municipalités connaissant une pénurie de logements locatifs pour des raisons exceptionnelles. Les mesures mises en place sont les suivantes :

  • 75 unités de supplément au loyer d’urgence qui permettront à autant de ménages admissibles de débourser seulement 25 % de leur revenu pour se loger. Il s’agit d’unités d’urgence supplémentaires qui s’ajoutent aux 10 unités dont dispose déjà la Société d’habitation du Québec au 1er juillet 2019.
  • L’octroi de subventions aux municipalités pour le remboursement d’une partie des dépenses, notamment pour l’hébergement temporaire de certains ménages, leur déménagement ou l’entreposage de leurs biens.
  • L’octroi de subventions aux municipalités qui choisiront d’adopter une aide d’urgence complémentaire pour accompagner les ménages qui en feront la demande.
  • Les municipalités admissibles aux subventions sont celles dont le taux d’inoccupation serait égal ou inférieur à 2 %.

La Société d’habitation du Québec remboursera à la municipalité 50 % des dépenses admissibles faites pour offrir des services d’urgence aux ménages sans logis. Ce pourcentage pourra être majoré à 100 % dans des circonstances de sinistre majeur.

« En vue du 1er juillet, les Québécoises et Québécois peuvent compter sur un gouvernement en mode solution pour s’assurer que les personnes seules, les familles et les aînés à la recherche d’un logement en cette période de l’année pourront se loger dignement. Nous mettons des outils supplémentaires à la disposition des offices d’habitation, avec qui nous travaillons en étroite collaboration, et nous offrons d’autres options aux municipalités qui vivent un resserrement du marché locatif privé sur leur territoire. Bref, nous nous assurons que la situation restera sous contrôle au cours des prochains jours. », a souligné Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

« En cette période du 1er juillet, le Regroupement des offices d’habitation du Québec, l’intervenant majeur en habitation sociale, rappelle à la population que tous les offices d’habitation sont prêts à répondre aux demandes de logements à travers le Québec, mais également disponibles pour assurer un service aux locataires particulièrement en cette période cruciale et tout autant durant l’année. Par ces actions, les offices d’habitation remplissent leur mission première, soit celle d’aider les personnes et les familles à faible revenu à se loger convenablement. Le Regroupement des offices d’habitation du Québec salue les mesures gouvernementales qui permettront de mieux outiller les OH afin de bien servir les personnes ayant besoin d’un logement en cette période de l’année. », a déclaré M. Robert De Nobile, président du ROHQ.


Faits saillants :

  • Les personnes qui n’arriveraient pas à trouver un logement en ce moment peuvent communiquer avec l’office d’habitation de leur secteur.
  • Les personnes qui souhaitent bénéficier d’une unité d’urgence supplémentaire doivent avant tout contacter un office d’habitation, une coopérative d’habitation ou un organisme à but non lucratif reconnu pour l’obtention d’un logement à loyer modique.
  • Pour connaître les coordonnées de son office d’habitation, il est possible de consulter la section Répertoire des organismes du site Web de la Société d’habitation du Québec. Le Centre de relations avec la clientèle de la Société d’habitation du Québec (1 800 463-4315) sera ouvert de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h 30, et ce, même les 29 et 30 juin et le 1er juillet. Le Centre pourra aussi mettre en contact les personnes et leur office d’habitation.
  • La majorité des offices d’habitation, en particulier ceux aux prises avec un resserrement du marché locatif privé sur leur territoire, seront aussi joignables durant la prochaine fin de semaine.
  • À propos de la Société d’habitation du Québec (SHQ)
  • La SHQ a pour mission de répondre aux besoins en habitation des citoyens du Québec. Pour ce faire, elle offre des logements abordables ou à loyer modique et elle propose un éventail de programmes d’aide favorisant la construction et la rénovation résidentielles, l’adaptation de domicile et l’accession à la propriété. En tant que chef de file en habitation, la SHQ stimule l’établissement de partenariats avec les collectivités, la concertation entre les acteurs du milieu et l’innovation. Pour en savoir plus sur ses activités, consultez le www.habitation.gouv.qc.ca.

SocietehabitationQuebec
HabitationSHQ

Lancement de la campagne d’information et de sensibilisation sur la consommation d’opioïdes


 Publié le 25 juin 2019
 

La ministre de la Santé et des Services sociaux, Danielle McCann, a procédé au lancement de la phase estivale de la campagne d’information et de sensibilisation visant à prévenir les surdoses liées aux opioïdes pour l’année 2019-2020. Celle-ci se déroulera jusqu’au 1er septembre et s’adresse principalement aux personnes qui consomment des drogues en contexte récréatif ou festif. En effet, plusieurs d’entre elles ne savent pas que les drogues peuvent contenir des opioïdes et causer des surdoses potentiellement mortelles.

Ce premier volet de la campagne 2019-2020 se déploie donc sur le thème suivant : « Un intrus pourrait s’inviter à la fête. Les drogues peuvent contenir des substances toxiques comme du fentanyl. » Il vise tout particulièrement les personnes qui consomment des drogues et leur entourage, surtout lors d’événements et de festivals qui se déroulent en période estivale.

Avec la collaboration de plusieurs organismes communautaires et d’organisateurs de festivals au Québec, la campagne a pour but de sensibiliser la population aux risques et aux conséquences potentielles entourant la consommation d’opioïdes, à informer sur les signes associés à une surdose et sur les mesures de prévention et d’intervention.

« En cette période estivale qui s’amorce, et avec les nombreux événements festifs qui auront lieu un peu partout au Québec, il demeure crucial de conscientiser la population sur les risques associés à l’usage de drogues à des fins récréatives. C’est pourquoi nous nous assurons, par la diffusion de ce message de manière bien ciblée, de rappeler qu’il faut demeurer vigilant, et que certaines précautions peuvent sauver des vies. », a déclaré Danielle McCann, ministre de la Santé et des Services sociaux

Faits saillants :

Ce premier volet de la campagne 2019-2020 se déploie :

  • à la radio traditionnelle, par l’entremise de trois publicités de 30 secondes diffusées entre le 17 juin et 14 juillet, et à la radio numérique, du 17 juin au 18 août;
  • en affichage, dans certains grands festivals québécois, dans le métro de Montréal et dans les restaurants-bars, du 24 juin au 1er septembre;
  • sur les médias sociaux (Facebook, Instagram, YouTube), de manière ciblée, entre le 24 juin et le 25 août;
  • sur le Web, par des bannières ciblées selon le contexte festif et l’achat de mots-clés sur Google.

Lien connexe

  • Tous les contenus liés aux opioïdes et destinés à la population sont disponibles sur Québec.ca/opioides.

400 000 $ pour un projet phare en gériatrie sociale à Montréal


 Publié le 25 juin 2019
 

La ministre responsable des Aînés et des Proches aidants, Marguerite Blais, annonce aujourd’hui qu’un financement de 400 000 $ est accordé au Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal (CIUSSS) pour soutenir sur deux ans un projet phare en gériatrie sociale sur son territoire.

Ce projet, nommé Pour une communauté bienveillante envers ses aînés, a pour objectif de créer un réseau de partenaires capables de repérer les aînés vulnérables et isolés dans leurs milieux de vie, d’entrer en contact avec eux, d’intervenir pour améliorer leur qualité de vie, de les accompagner vers les services appropriés ainsi que de favoriser leur autonomie et leur participation sociale. Le programme sera déployé sur le territoire du réseau local Faubourg, Plateau-Mont-Royal et Saint-Louis-du-Parc, dont la population est constituée à 70 % de personnes socialement défavorisées et présente le plus haut taux de personnes âgées vivant seules à Montréal.

Devant le constat accablant des ravages de l’isolement chez de nombreux aînés vivant en situation de vulnérabilité, le gouvernement se mobilise pour lutter contre ce phénomène. Le soutien financier accordé par le gouvernement permettra de mettre en place des mesures concrètes qui amélioreront la qualité de vie et le bien-être de ces Montréalais.

« La gériatrie sociale permet de rejoindre les aînés directement dans leur communauté, et c’est ce qui fait toute la différence lorsqu’il est question de briser leur isolement social et de favoriser leur vieillissement actif. Je suis très heureuse que notre gouvernement soutienne cette approche novatrice, qui ouvre la voie à un changement majeur dans notre société à l’égard des personnes aînées. », a déclaré Marguerite Blais, ministre responsable des Aînés et des Proches aidants.

Faits saillants :

Le projet se déploiera selon trois volets :

  • création d’un modèle de gériatrie sociale enraciné dans la communauté, notamment grâce à un comité de pilotage rassemblant des représentants de différents acteurs du milieu;
  • mise en place d’un maillage inter-réseaux, entre autres par l’entremise de rencontres, de formations, d’ententes de collaboration et de coordination, de mécanismes de communication intersectoriels et d’un outil de référencement entre le milieu communautaire et les services du réseau;
  • adoption d’interventions centrées sur le bien-vieillir, qui misent par exemple sur des programmes de prévention, des ateliers donnés par des pairs, de même que des outils et des guides de pratique pour les intervenants en première ligne.
  • Rappelons que le concept de gériatrie sociale est en émergence au Québec, et qu’un tel projet permettra de le documenter et de le concrétiser. En vue de mieux évaluer les différentes initiatives mises en œuvre récemment, dont le projet pilote de la Fondation AGES, annoncé le 3 juin dernier, un comité consultatif sera mis sur pied d’ici la fin juin afin d’offrir une meilleure cohérence et de se baser sur des critères et des indicateurs communs. Ce comité sera formé de différents experts de la gérontologie, de la participation sociale et des directions concernées du ministère de la Santé et des Services sociaux.

Fête nationale du Québec


 Publié le 25 juin 2019
 

Le premier ministre, François Legault, a tenu à offrir ses vœux à l’ensemble de la population, en ce jour de la fête nationale du Québec, en l’invitant à se rappeler et à préserver les valeurs et l’héritage légués par les femmes et les hommes qui ont contribué à bâtir le Québec et à en faire, au fil des décennies et des siècles, une nation qui se distingue par sa langue française et par son ambition.

Déjà, jeudi, lors de la cérémonie de remise des insignes 2019 de l’Ordre national du Québec, il a exprimé sa fierté d’appartenir à un peuple à la fois résilient, chaleureux et accueillant, qui brille par son talent et son savoir-faire, au-delà des frontières.

M. Legault a profité de la fête nationale pour réitérer son honneur de représenter les Québécoises et les Québécois et d’être leur premier ministre. Ce matin, lors d’un brunch organisé à Charlemagne, il a rappelé la grande confiance qu’il éprouve envers la jeunesse et a réaffirmé sa détermination à faire de l’éducation une priorité nationale, en misant notamment sur la construction de belles écoles, sur la prestation de services adaptés et de qualité, sur la formation d’enseignantes et enseignants inspirants et de spécialistes compétents, de même que sur des universités à la fine pointe.

Finalement, lors d’un discours patriotique prononcé ce soir, à Repentigny, le premier ministre a évoqué sa volonté d’augmenter la richesse collective et individuelle au Québec, en mentionnant que prospérité et fierté allaient de pair, et s’est dit convaincu que le peuple québécois était capable de réaliser de grandes choses, d’inventer et d’oser.

« La fête nationale est l’occasion de nous souvenir que l’histoire de notre nation est riche des pionniers qui nous ont précédés et qui nous ont légué un lot de réussites. Je pense, entre autres, à ceux qui ont mené la Révolution tranquille. Ils ont bâti des multinationales, remporté des médailles olympiques, tourné des films de renommée mondiale, érigé des barrages hydroélectriques et construit des écoles et des universités. Ils se sont battus pour le français et ont passionnément défendu leur identité. Aujourd’hui, on a le devoir de bâtir sur ce qu’on est, sur notre histoire, sur notre culture et sur chacune de nos magnifiques régions pour continuer la belle aventure de notre nation francophone en Amérique. Je suis convaincu d’une chose : le meilleur est encore à venir. Les Québécoises et les Québécois n’ont pas fini de marquer l’histoire! », a déclaré François Legault, premier ministre du Québec.

Plus de 3,4 M$ pour les infrastructures municipales


 Publié le 21 juin 2019
 

La ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, Mme Andrée Laforest, annonce le financement du Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec (TECQ 2019-2023).

C’est 3,415 milliards de dollars qui seront versés aux municipalités du Québec au cours des cinq prochaines années pour le financement de projets d’infrastructures municipales, notamment ceux liés à l’eau potable, au traitement des eaux usées, à la voirie locale et au déploiement du réseau Internet à haute vitesse. Il s’agit d’un investissement de 2,564 milliards de dollars provenant du Fonds de la taxe sur l’essence fédéral et de 851 millions de dollars issus de la contribution additionnelle du gouvernement du Québec.

« Partout au Québec, nous travaillons de concert avec les acteurs municipaux afin de créer des milieux de vie agréables où il fait bon vivre. Les municipalités et organismes municipaux pourront compter sur une source de financement prévisible leur permettant de concrétiser de nombreux projets d’infrastructures. Ces investissements sont en droite ligne avec la volonté de notre gouvernement de contribuer à la vitalité économique de nos municipalités et de nos régions. », a déclaré Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean.

« Je suis fier de cette importante contribution qui permet de fournir un financement stable et à long terme sur lequel les collectivités peuvent compter pour rénover et entretenir leurs infrastructures publiques. Nous sommes à l’écoute du Québec et de ses besoins en matière d’infrastructures. C’est pourquoi nous avons confirmé une somme additionnelle de plus de 500 millions de dollars qui sera directement affectée à la réalisation de nos engagements envers les communautés. Ce sont des mesures concrètes comme celle-ci qui font la différence et améliorent la qualité de la vie des Canadiens. », a souligné L’honorable François-Philippe Champagne, ministre de l’Infrastructure et des Collectivités.

Fait saillant :

Liens connexes :

  • L’information concernant le Programme de la taxe sur l’essence et de la contribution du Québec 2019-2023, y compris les modalités du programme et la procédure pour présenter une programmation de travaux, sera bientôt disponible sur le site Web du MAMH.
  • Pour en savoir plus sur les activités du MAMH, suivez-nous dans les médias sociaux :

www.facebook.com/AffairesMunicipalesHabitation
twitter.com/MAMhQC/

382 M$ pour 39 nouveaux projets d’agrandissement et de construction d’écoles à Montréal


 Publié le 21 juin 2019
 

La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, se réjouit de l’annonce historique de 128 nouveaux projets d’agrandissement et de construction d’écoles à travers le Québec faite par le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge. Des centaines d’élèves de Montréal pourront ainsi profiter de 39 projets visant l’ajout d’espace grâce à un investissement de 382 367 713 $.

Le démarrage de l’ensemble des projets pourra débuter dès cet été grâce à la modernisation des règles du ministère. Afin de mieux répondre aux demandes des commissions scolaires, le MEES adopte une planification pluriannuelle pour la première fois de son histoire. En effet, 29 projets pourront profiter d’une part de financement approximative de 10 % de leur coût total estimé, qui permettra leur démarrage dès maintenant et accélérera ainsi les démarches associées à leur réalisation. Plus spécifiquement, pour la région de Montréal cela représente 7 projets. Leur financement sera complété dès qu’ils seront prêts à franchir les autres étapes de réalisation de leur projet et que les investissements nécessaires à leur poursuite seront prévus au Plan québécois des infrastructures.

« Les milieux de vie que fréquentent nos enfants ont certainement une incidence sur leur développement, leur estime de soi, leur réussite et leur bonheur. Tout le monde souhaite que les élèves aient le goût de se rendre à leur école, qu’ils s’y sentent bien et qu’ils réussissent à la hauteur de leur capacité. C’est pourquoi je me réjouis de voir le gouvernement investir si massivement dans nos écoles. C’est aussi toute notre population qui en bénéficie. », a déclaré Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal.

« Ce que nous souhaitons pour les élèves du Québec, ce sont de belles écoles qui favorisent leur plein épanouissement. Avec ce nombre record de projets d’agrandissement et de construction, nous venons offrir des environnements d’apprentissage modernes et combler le manque de locaux, un problème qui remonte aux gouvernements précédents. Notre gouvernement n’a pas peur d’investir en éducation et il remet l’élève au cœur de ses actions, que ce soit sur le plan des services professionnels offerts aux élèves, des sorties culturelles, des activités parascolaires ou de l’amélioration des écoles. Comme ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, comme enseignant et comme père, j’en suis fier.», a souligné Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Faits saillants

  • La mesure Ajout d’espace vise les projets de construction, d’agrandissement et de réaménagement d’écoles ainsi que l’acquisition de bâtiments par les commissions scolaires.
  • L’ensemble des projets pour lesquels un besoin d’espace est reconnu par le ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur vont démarrer cette année. Ces investissements sont prévus au Plan québécois des infrastructures 2019-2029.
  • Voici la répartition de l’aide financière par commission scolaire à Montréal :

Commission scolaire de la Pointe-de-l’Île

Montant

Agrandissement de l’école de la Fraternité

15 570 602 $

Transformation du Centre de services aux entreprises en école primaire

2 747 310 $

Agrandissement de l’école Saint-Joseph

13 495 086 $

Agrandissement de l’école Marc-Aurèle-Fortin

9 176 280 $

Agrandissement de l’école Notre-Dame-de-Fatima

12 073 604 $

Agrandissement de l’école le Tournesol*

1 925 975 $

Réaménagement du bâtiment excédentaire René-Guénette annexe

5 822 295 $

Acquisition de l’immeuble situé au 11280, avenue Jules-Dorion

2 859 554 $

Construction d’un bâtiment pour loger le Centre de services aux entreprises

14 761 569 $

Construction d’une école primaire*

3 428 841 $

Élaboration du dossier d’affaires pour l’agrandissement de l’école secondaire Anjou

10 000 000 $

Élaboration du dossier d’opportunité pour la construction d’une école secondaire (Anjou-Louis-Riel)

2 000 000 $

Élaboration du dossier d’opportunité pour la construction d’une école secondaire (Jeanne-Mance-Viger)

2 000 000 $

Agrandissement du Centre de formation des métiers de l’acier

9 575 679 $

Commission scolaire de Montréal

Agrandissement de l’école Les-Enfants-du-Monde

21 531 930 $

Agrandissement de l’école secondaire Académie Dunton*

2 531 166 $

Reprise du bâtiment excédentaire Le 3349, rue Adam*

4 110 000 $

Reprise d’espaces dans le bâtiment Saint-François-d’Assise (pour le primaire)

3 957 106 $

Reprise d’espaces dans le bâtiment Saint-Gabriel-Lalemant (pour le primaire)

13 940 456 $

Reprise d’espaces dans le bâtiment Saint-Donat (pour le primaire)

13 098 493 $

Construction d’une école primaire dans le secteur Griffintown*

2 169 596 $

Construction d’une école primaire sur le site du Grand Séminaire dans le centre-ville de Montréal*

3 469 640 $

Réaménagement de l’école des métiers de la construction de Montréal

810 896 $

Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys

Agrandissement de l’école de la Mosaïque, édifice Mc Murray

12 658 547 $

Agrandissement de l’école secondaire Paul-Gérin-Lajoie-d’Outremont

14 218 977 $

Agrandissement de l’école secondaire Mont-Royal

14 725 554 $

Agrandissement de l’école Saint-Louis

14 351 136 $

Agrandissement de l’école Saint-Rémi

15 791 197 $

Bonification du projet de construction d’une école primaire dans l’arrondissement Outremont

17 255 992 $

Acquisition du 4280, boulevard Saint-Jean afin d’y déménager des élèves du Centre d’éducation des adultes Jeanne-Sauvé, édifice Pierrefonds

4 353 886 $

Réaménagement du bâtiment situé au 860, boulevard de la Côte-Vertu
(pour l’ajout de classes d’accueil et de francisation)

9 151 601 $

Acquisition et transformation du centre communautaire Albert-Gariepy, situé au 800, rue Sherbrooke (arrondissement Lachine) afin de le convertir en école primaire

12 072 068 $

Construction d’une école primaire dans l’arrondissement Saint-Laurent

14 636 129 $

Construction d’une école primaire dans le secteur Nord-Ouest

12 807 701 $

Construction d’une école primaire à Mont-Royal

25 053 170 $

Construction d’une école primaire dans le secteur Saint-Laurent ouest

21 355 819 $

Élaboration du dossier d’affaires pour la construction d’une école secondaire dans le secteur LaSalle

10 000 000 $

Élaboration du dossier d’affaires pour la construction d’une école secondaire dans le secteur Nord-Ouest

10 000 000 $

Transfert de l’école Allancroft de la CS Lester-B.-Pearson (réaménagement et agrandissement)*

2 879 858 $

Total

382 367 713 $

* Projets financés approximativement à 10 %. Le financement sera complété lorsque les projets seront prêts à franchir les autres étapes.