Nouveau programme d’études Intervention en gestion parasitaire


 Publié le 8 janvier 2019

Dans le but de répondre à un besoin de main-d’œuvre qualifiée en gestion parasitaire, le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, a approuvé un nouveau programme d’études menant à une attestation d’études professionnelles. Cette formation, élaborée par la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, pourra être offerte dès janvier 2019 par l’ensemble des commissions scolaires. Le député de Montmorency, M. Jean-François Simard, en a fait l’annonce aujourd’hui, au nom du ministre Roberge.

« Notre gouvernement est à l’écoute des besoins du marché du travail. L’approbation du nouveau programme d’études Intervention en gestion parasitaire, élaboré par la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, en est d’ailleurs un excellent exemple. Je suis heureux pour les élèves qui pourront le suivre, mais également pour les entreprises de la région, qui pourront bénéficier d’une main-d’œuvre qualifiée. », a annoncé Jean-François Simard, député de Montmorency.

Depuis quelques années, certaines problématiques relatives à la présence d’animaux et d’insectes nuisibles, notamment les punaises de lit, sont en croissance. Ce nouveau programme d’études permettra de former davantage de techniciennes et techniciens en gestion parasitaire.

« Avec ce nouveau programme d’études, le réseau des commissions scolaires, notamment la Commission scolaire des Premières-Seigneuries, élargit son offre de services, au plus grand bénéfice des élèves, qui pourront assurément y trouver leur compte. C’est en posant des gestes concrets comme celui-ci que nous pourrons répondre aux besoins grandissants de main‑d’œuvre dans ce secteur d’activité. », a expliqué Jean-François Roberge, ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur.

Faits saillants

Au Québec, près de 800 personnes occupent un emploi de fumigateur ou fumigatrice ou de préposé ou préposée au contrôle de la vermine. Avec un taux de roulement de 6,6 %, le besoin en main-d’œuvre est d’une cinquantaine de personnes à former par année pour cette classe d’emploi.