Les députées Brigitte Sansoucy et Chantal Soucy unissent leurs voix pour féliciter les élus municipaux et souligner l’implication des femmes en politique municipale


 Publié le 7 novembre 2017
 

Au lendemain des élections municipales, les députées Chantal Soucy et Brigitte Sansoucy ont tenu à féliciter les candidats élus dans leurs circonscriptions respectives. Elles ont également profité de l’occasion pour souligner de façon particulière l’implication significative des femmes de leur région.

« Nous sommes à un tournant de notre histoire. Pour la première fois en 375 ans, Montréal a choisi une femme à la mairie. Dans la circonscription de Saint-Hyacinthe seulement, neuf femmes ont été nouvellement élues, pour un total de 19. À Saint-Hyacinthe et à Saint-Dominique, les conseils municipaux ont presque atteint la parité  », a souligné la députée caquiste, Chantal Soucy. « S’impliquer en politique, ça prend du courage, surtout lorsqu’on est une femme. Concilier nos rôles de mère, de conjointe et d’élue n’est pas une tâche facile et, souvent, on se heurte aux doubles standards. Je salue donc toutes celles qui ont eu le courage de soumettre leur candidature et de plonger dans l’arène politique. Nous avons besoin davantage de femmes pour nous représenter au sein des postes de pouvoir et je suis ravie de constater qu’on tend à y arriver », a-t-elle poursuivi.

« J’ai toujours encouragé la relève en politique, particulièrement lorsqu’elle est féminine. En tant que membre et donatrice du Groupe Femmes, Politique et Démocratie, je réfère souvent des femmes à leurs formations, qui sont toujours très pertinentes », d’ajouter la députée à la Chambre des communes, Brigitte Sansoucy. « De plus, j’ai tenu à deux reprises des rencontres d’information destinées aux femmes qui désirent s’impliquer en politique et j’ai l’intention d’en tenir d’autres, tant la réponse de mes consœurs est vive », a-t-elle renchéri.

En terminant, les deux députées ont tenu à réitérer leur soutien aux nouveaux élus : «  Je félicite l’ensemble des maires et des conseillers municipaux pour l’obtention de leur nouveau mandat. C’est avec plaisir que je poursuivrai mon travail avec eux et, comme toujours, ils pourront compter sur mon entière collaboration », a conclu Chantal Soucy.

« Je tiens à féliciter tous les élus de l’élection 2017. Le nombre impressionnant de candidatures dans l’ensemble de nos municipalités démontre la vigueur de la démocratie ainsi que l’intérêt des citoyens pour la vie politique locale. J’encourage chacun de nos élus à ne pas hésiter à entrer en contact avec moi. Le dynamisme de notre région passe par la collaboration et c’est avec enthousiasme que j’entends le faire », de conclure Brigitte Sansoucy.

Mise à jour économique à venir : François Legault réclame des baisses d’impôts pour l’année 2017


 Publié le 7 novembre 2017
 

En date du 31 août 2017, le surplus budgétaire du gouvernement s’élevait déjà à 1,7 milliard de dollars, bien plus que le surplus réalisé l’année dernière à pareille date. Face à ces surplus budgétaires, Philippe Couillard doit accorder des baisses d’impôts de 1 000 $ pour les familles du Québec, a exigé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Le gouvernement libéral n’a pas d’excuse : il doit redonner l’argent qu’il est allé piger dans les poches des familles d’ici la fin de l’année. C’est la moindre des choses, selon le chef caquiste, alors que le gouvernement Couillard a la preuve qu’il a imposé une charge fiscale beaucoup trop lourde aux Québécois.

Rappelons que lors de la dernière campagne électorale, le chef libéral avait promis d’allouer 50 % des surplus budgétaires aux réductions d’impôt. M. Legault a ajouté qu’il serait indécent que Philippe Couillard garde ces surplus pour se bâtir une cagnotte électorale en vue du scrutin d’octobre 2018. Ce surplus appartient aux Québécois, pas au gouvernement du Parti libéral, a martelé le chef de la CAQ.

Racisme systémique : Une opération de maquillage


 Publié le 7 novembre 2017
 

Alors que le 19 octobre dernier, le ministre de l’Immigration David Heurtel annonçait la fin de la consultation sur le racisme et la discrimination systémique, son ministère envoyait 6 jours plus tard aux groupes déjà choisis un courriel, obtenu par la Coalition Avenir Québec, dans lequel il leur dit de continuer à se fier sur les documents déjà produits par la Commission des droits de la personne qui, depuis, a été écartée.

Dans un courriel obtenu par la députée de Montarville et porte-parole de la CAQ en matière d’immigration, Nathalie Roy, le ministère de l’Immigration confirme que des documents stipulant que le racisme est érigé en système au Québec continueront d’être utilisés dans le cadre de l’organisation du nouveau forum de David Heurtel. On peut même lire dans ces documents que le racisme et les formes de discrimination sont « inscrites dans des pratiques, des processus décisionnels ou encore dans des lois et des règlements ».

Pour Nathalie Roy, il est évident que le gouvernement libéral a maquillé sa consultation en changeant son nom, sa forme, mais en conservant son objectif et ses conclusions. Bien que David Heurtel souhaite parler d’emploi, la réalité est que son propre ministère veut parler de racisme systémique. Il doit rappeler son ministère à l’ordre, a exigé Mme Roy.

La députée caquiste a fait savoir que la CAQ continuera à s’opposer à toute consultation qui vise à mettre les Québécois au banc des accusés. Il est possible de trouver des solutions aux problèmes d’intégration des communautés culturelles sur le marché du travail sans accuser ni pointer du doigt les Québécois, à moins 11 mois des élections générales.

OGM : La CAQ réitère son appui à l’étiquetage obligatoire


 Publié le 7 novembre 2017
 

Alors que l’organisme Vigilance OGM déposait mardi une pétition signée par plus de 20 000 citoyens du Québec réclamant l’étiquetage obligatoire des organismes génétiquement modifiés (OGM), la porte-parole de la Coalition Avenir Québec (CAQ) en matière d’agriculture et députée de Mirabel, Sylvie D’Amours, a réitéré son appui à une telle démarche et a invité le gouvernement libéral à bouger sur le dossier.

Les consommateurs sont en droit de savoir ce qui compose les aliments qu’ils consomment, peu importe leur provenance, a souligné Sylvie D’Amours, qui rappelle que l’étiquetage obligatoire des OGM figurait dans la plateforme électorale de la CAQ dès 2012. Il s’agit d’une question d’intérêt public qui bénéficie d’un large consensus dans la société. En 2017, il est inacceptable que le Parti libéral ne soit pas encore allé de l’avant avec cette mesure.

La députée de Mirabel a fait savoir que le Parti libéral s’était engagé en 2003 à rendre obligatoire l’étiquetage. Après près de 15 années de règne libéral, rien n’a été fait au ministère de l’Agriculture des Pêcheries et de l’Alimentation et ce sont encore une fois les consommateurs québécois qui sont pénalisés.

Chantier Davie : La CAQ talonne le gouvernement libéral


 Publié le 7 novembre 2017
 

Le gouvernement libéral est à la remorque dans le dossier Davie, alors que celle-ci peine à obtenir sa juste part des contrats du fédéral, ont déploré les députés de la Coalition Avenir Québec François Paradis, Donald Martel et Marc Picard.

Alors que les chantiers navals d’Halifax et de Vancouver ont remporté de nombreux contrats, Davie n’a obtenu qu’un minuscule pourcentage de ces contrats, a regretté François Paradis, qui rappelle que de nombreuses familles de Lévis vivent et bouclent leur fin de mois grâce au Chantier Davie. Malheureusement, le ministre Jean D’Amour ne s’émeut pas de voir la moitié de ces emplois menacés alors que le gouvernement fédéral n’a toujours pas octroyé le contrat du deuxième pétrolier-ravitailleur de la Marine canadienne à Davie. Le fédéral peut et doit modifier sa stratégie pour y inclure Davie et le gouvernement libéral doit se battre pour les travailleurs de Lévis, a lancé le député caquiste.

Le porte-parole de la CAQ en matière de stratégie maritime, Donald Martel, a rappelé que dans la Stratégie maritime du gouvernement, il est écrit noir sur blanc que le gouvernement du Québec doit travailler de concert avec son homologue fédéral « afin que les chantiers maritimes québécois participent au renouvellement de la flotte de navires canadiens. » C’est une promesse brisée, puisqu’à Québec, personne ne se bat réellement pour que Davie obtienne sa part de contrats fédéraux.