La députée Chantal Soucy souligne l’ordination de Monseigneur Rodembourg, dans une déclaration prononcée à l’Assemblée nationale


 Publié le 24 octobre 2017
 

Le 27 septembre dernier, la députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a rendu hommage au nouvel évêque de Saint-Hyacinthe, Monseigneur Christian Rodembourg, dont l’ordination épiscopale a eu lieu le 17 septembre.

Dans son discours, la députée caquiste a d’abord relaté la vie de l’évêque. Ordonné prêtre en 1995, Monseigneur Rodembourg est connu pour son livre Prier 15 jours avec Père Eusèbe-Henri Ménard,  traduit en trois langues. Durant 22 ans, il a exercé son ministère presbytéral dans le diocèse de Saint-Jean-Longueuil, tout en apportant sa contribution à différents conseils diocésains. Il s’est également impliqué au sein de plusieurs mouvements, dont la Société des Missionnaires des Saints-Apôtres et les Équipes Notre-Dame du Canada.

« Partout où il passe, Monseigneur Rodembourg laisse derrière lui le souvenir d’un homme d’équipe, dévoué et près des gens », a affirmé Chantal Soucy. « Après 19 ans de loyaux services, Monseigneur Lapierre peut donc se retirer en toute quiétude ; son diocèse continuera d’être entre bonnes mains avec Monseigneur Rodembourg », a-t-elle conclu.

Mgr Rodembourg étant à l’extérieur du pays lors de la déclaration, la députée de Saint-Hyacinthe lui a rendu visite, le 23 octobre dernier, pour lui remettre en mains propres la transcription officielle de sa déclaration.

Entente avec les omnipraticiens : Rien pour les patients, déplore François Legault


 Publié le 24 octobre 2017
 

C’est bien beau vouloir donner un médecin de famille aux Québécois, mais si celui-ci n’est pas disponible lorsqu’on est malade, où est la logique ? Le chef de la Coalition Avenir Québec et député de L’Assomption, François Legault, a réclamé du premier ministre Philippe Couillard qu’il revoie au plus vite le mode de rémunération des médecins de famille, pour assurer une véritable prise en charge des patients.

Malgré les nombreuses promesses du gouvernement libéral, il y a près de 15 ans, les urgences de plusieurs hôpitaux au Québec sont toujours engorgées et des centaines de milliers de Québécois n’ont pas accès à un médecin de famille dans un court délai. Si on veut un jour régler enfin l’accès aux soins, il va falloir :

  • S’attaquer au mode de rémunération des médecins ;
  • Accepter que plus d’actes soient délégués à des infirmières ;
  • Améliorer les heures d’ouverture des Groupes de médecine familiale pour le bénéfice des familles.

Malheureusement, l’entente conclue entre Québec et la FMOQ prévoit une hausse de salaire des médecins de 1,6 milliard de dollars, sans aucune garantie pour les patients, a regretté M. Legault.

Garderies en milieu familial : Un rapport du ministère de la Famille inquiète la CAQ


 Publié le 24 octobre 2017
 

Malgré une analyse d’impact de son propre ministère qui démontre clairement que son projet de loi entraînera des pertes de revenus et d’emplois, le ministre Luc Fortin continue de s’attaquer aux services de garde en milieu familial et met en péril tout un modèle de services de garde porté par des milliers de femmes.

La députée de Louis-Hébert et porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de famille, Geneviève Guilbault, ne comprend pas pourquoi le gouvernement libéral s’entête à vouloir abaisser le ratio de six à quatre enfants dans les services de garde en milieu familial. S’il est adopté, ce changement aura un effet désastreux pour beaucoup de garderies privées en milieu familial, regrette Geneviève Guilbault.

La députée caquiste souhaite par-dessus tout améliorer la qualité des services de garde et veiller au bien-être et à la sécurité des enfants, mais visiblement, les libéraux choisissent le mauvais moyen pour y parvenir, puisqu’ils briment à la fois le libre choix des parents et la liberté d’entreprendre de nombreuses éducatrices en milieu familial.

Contrat de gré à gré de 180 M$ avec Air Inuit : La CAQ demande à la Vérificatrice générale d’enquêter


 Publié le 24 octobre 2017
 

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de transports, Benoit Charette, demande à la Vérificatrice générale du Québec de se pencher sur un contrat de gré à gré d’une valeur de 180 M$ octroyé à Air Inuit par le gouvernement du Québec. Le porte-parole caquiste rappelle que les contrats d’une valeur de plus de 100 000 $ doivent être attribués en vertu d’un appel d’offres en bonne et due forme. Dans le cas qui nous préoccupe, plusieurs autres compagnies ont affirmé être en mesure de remplir les besoins du centre de santé, mais qu’on ne leur a pas laissé l’opportunité de soumissionner puisque le contrat a été attribué de gré à gré.

Pour la CAQ, le gouvernement libéral n’a rien appris de la commission Charbonneau en continuant à octroyer de tels contrats de gré à gré.