Appel à la solidarité : une pétition pour sauver l’organisme Jeunes en santé


 Publié le 22 mars 2017
 

Au terme de nombreuses démarches auprès du gouvernement libéral  pour sauver la mission de Jeunes en santé, la députée de de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, se heurte à une fin de non-recevoir de la part du gouvernement libéral. La  coordonnatrice de l’organisme prend donc la relève en lançant  une pétition pour exhorter le gouvernement à renouveler le financement de Jeunes en santé. L’organisme, qui fait la promotion des saines habitudes de vie chez les jeunes de la région, craint de devoir fermer ses portes d’ici l’automne, faute d’engagement financier de la part du gouvernement.

« Aujourd’hui, c’est un véritable appel à la solidarité que nous lançons. Nous sommes allés au bout de nos démarches. Après de multiples représentations auprès de la ministre responsable des saines habitudes de vie, Lucie Charlebois, et après l’avoir questionnée en chambre, nous voilà aujourd’hui au pied du mur », a indiqué Chantal Soucy, qui travaille depuis plusieurs mois afin que le financement de l’organisme soit reconduit. « Nous devons faire savoir à la ministre que ce genre de coupures dans les services à nos enfants est inacceptable. Si, malgré nos efforts, la ministre libérale est jusqu’à maintenant demeurée insensible à notre cause, on espère que les signatures de centaines de parents et de grands-parents l’inciteront à reconsidérer le financement de Jeunes en santé », a-t-elle déclaré. Pour Véronique Laramée, coordonnatrice de Jeunes en santé, cette pétition représente le dernier espoir de l’organisme. « J’invite tous les citoyens des MRC d’Acton et des Maskoutains à signer la pétition pour sauver Jeunes en santé. Depuis plus de dix ans, nous offrons des services concrets aux jeunes de la région, dans le but de leur inculquer de saines habitudes de vie. La fin de Jeunes en santé signifie la fin de tous ces programmes pour nos enfants », a-t-elle affirmé.

Chaque année, Jeunes en santé offre des services de qualité à plus de 6 000 enfants des MRC d’Acton et des Maskoutains. L’organisme propose des activités telles que des exercices de psychomotricité, des ateliers culinaires, une escouade santé dans les camps de jour et des vidéos « J’bouge en classe » afin de promouvoir l’adoption de saines habitudes de vie chez les jeunes de la région.

Les citoyens intéressés ont jusqu’au 3 avril pour signer la pétition en ligne : https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-6647/index.html.

Région de Québec : Les libéraux ouvrent la porte à une taxe sur le SRB


 Publié le 22 mars 2017
 

Le gouvernement libéral envisage d’imposer aux familles de Québec et de Lévis une nouvelle taxe pour financer son projet de système rapide par bus (SRB), ont déploré les députés de la Coalition Avenir Québec, Éric Caire et François Paradis.

En réaction aux propos du chef péquiste Jean-François Lisée, qui a dit la semaine dernière vouloir une telle taxe, le député de La Peltrie a déposé, mercredi à l’Assemblée nationale, une motion demandant au gouvernement d’abandonner tout scénario allant en ce sens.

Les députés libéraux de la région de la Capitale-Nationale devraient être gênés de cette situation, ont souligné Éric Caire et François Paradis. Selon eux, ce refus des libéraux en dit long sur leur méconnaissance de la réalité des familles québécoises.

Rapport du Vérificateur général : Plus ça change, plus c’est pareil au MTQ


 Publié le 22 mars 2017
 

Le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de transports, Benoit Charette, a comparé la situation au MTQ au jour de la marmotte, à la suite du dépôt du dernier rapport du Vérificateur général qui blâme le Ministère pour sa gouvernance et sa gestion interne désastreuse.

Lourdeur administrative, structure interne chaotique, inefficacité flagrante quant à ses processus de contrôle et de suivi : le MTQ est encore enlisé dans des problèmes majeurs. Ainsi, ce sont plus de 3 000 contrats accordés annuellement qui échappent à une vérification soutenue du gouvernement.

De l’aveu même du Vérificateur général, chaque problème identifié est accueilli de la même façon par le gouvernement libéral. Le MTQ choisit la voie de la « facilité » selon la VG elle-même.

Écoute électronique : Philippe Couillard refuse de faire la lumière


 Publié le 22 mars 2017
 

Philippe Couillard doit creuser la question de l’origine de cette immunité, a exigé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault. Il doit chercher à savoir pourquoi la police a senti le besoin de prévenir et protéger les élus du gouvernement Charest qui faisaient l’objet d’enquête.

Dans un échange à l’Assemblée nationale, le premier ministre a clairement pris ses distances de l’ère Charest. François Legault a rappelé que selon un affidavit d’un lieutenant de la SQ, une immunité a été accordée à certains élus du gouvernement libéral de Jean Charest, dont plusieurs siègent toujours au gouvernement.

Philippe Couillard a de plus refusé la tenue d’une commission parlementaire pour faire la lumière sur l’ensemble de ces révélations.

Devant ce refus, M. Legault est revenu à la charge avec l’idée de nommer le Directeur général de la SQ par l’Assemblée nationale afin de placer le service policier à l’abri de toutes pressions politiques, explicite ou implicite.

Journée mondiale de l’eau : L’eau, une priorité pour la CAQ


 Publié le 22 mars 2017
 

Dans le cadre de la Journée mondiale de l’eau, la Coalition Avenir Québec réitère l’importance capitale de l’eau pour le développement durable et économique du Québec.

Les défis sont grands en matière de protection de l’eau, a souligné le porte-parole de la CAQ en matière d’environnement, Mathieu Lemay. Le gouvernement du Québec a une responsabilité prépondérante face aux enjeux qui touchent avant tout nos municipalités, comme :

–       L’approvisionnement en eau potable ;

–       Le traitement et la gestion des eaux usées ;

–       Les infrastructures vieillissantes de réseaux d’eau ;

Le caquiste a déploré l’improvisation du ministre David Heurtel, qui a menacé de couper aux organismes qui gèrent les bassins versants dès le 1er avril prochain l’accès à des données capitales sur l’état des eaux usées et les stations d’épuration au Québec.