BILAN DE FIN DE SESSION


 Publié le 18 janvier 2017
 

19 décembre, 2016

Lise Lavallée, députée de Repentigny pour la Coalition Avenir Québec, dresse un bilan de la dernière session qui s’est terminée la semaine passée.

ST-SULPICE

Préoccupée par le coût assumé par la municipalité de St-Sulpice, pour la desserte policière, la députée s’est dite satisfaite du dépôt par la CAQ d’un projet de loi permettant aux municipalités subissant cette réalité de choisir son service policier. Même si le gouvernement n’a pas retenu le projet de loi, ce geste permet d’exercer une certaine pression sur le gouvernement. Rappelons que près du tiers du budget de la ville sert à acquitter les frais du service de police.

Par ailleurs, madame Lavallée déplore le temps mis par le MTQ pour régler le problème des dommages causés au viaduc de la Montée de St-Sulpice. Il aura fallu un peu plus de 5 mois pour exécuter une première phase des travaux permettant ainsi à la circulation de se faire dans les deux sens. Malheureusement, le temps pris pour exécuter ces travaux aura eu des incidences sérieuses pour des entreprises de notre région. Le démarrage de la deuxième phase étant prévue au printemps 2017, je m’assurerai que le MTQ déploie tous les efforts requis afin de minimiser les irritants créés par ces travaux de réfection.

PROCHES-AIDANTS

Le dossier des proches aidants aura aussi retenu l’attention de la députée. Ayant déposée deux pétitions touchant la réalité des proches aidants, elle a été déçue par la fin de non-recevoir du gouvernement. Il faut se rappeler qu’il y a 1,2 million d’aidants naturels au Québec, soit 20 % de la population active. On peut estimer la valeur de leur contribution annuelle au réseau de la santé et des services sociaux à plus de 4 milliards $. Cet apport est essentiel au bon fonctionnement du système de santé. Si les proches aidants démissionnaient en bloc, le système de santé serait incapable de prendre en charge tous les aidés. «Le gouvernement et les Centres intégrés de santé et de services sociaux devront être à l’écoute des proches aidants afin de connaître leur réalité et répondre adéquatement à leurs besoins», de rappeler madame Lavallée.

HÔPITAL PIERRE-LE-GARDEUR

Le dossier de l’hôpital Pierre Le Gardeur demeure un dossier préoccupant. L’urgence déborde constamment. À plusieurs reprises, les taux d’occupation ont dépassé les 200%. Au 31 mars 2016, 119 adultes attendaient une place permanente dans les CHSLD de Lanaudière. Le temps d’attente moyen était de 96 jours pour obtenir une place. Ces personnes sont donc confinées à l’hôpital alors qu’elles devraient être ailleurs. Ces relocalisations permettraient de libérer des lits pour des patients en attentes.

Dans un autre ordre d’idée, depuis plusieurs années, la population, la communauté d’affaires et les municipalités participent à la campagne majeure de financement en vue, entre autres, de doter l’hôpital d’un appareil d’imagerie médicale Tep Scan. La réponse du ministère pour autoriser cette acquisition se fait toujours attendre. Espérons que nous aurons une bonne nouvelle en 2017.

SALLE DE SPECTACLE

Alors que la ville de Repentigny a obtenu des engagements financiers de la part de membres de la communauté d’affaires de Repentigny et que le gouvernement fédéral a donné son accord à une participation financière, l’aide du gouvernement provincial tarde à venir. Le ministre de la Culture a promis une réponse avant les fêtes. Souhaitons qu’elle soit positive afin de pouvoir finaliser le projet d’espace culturel.

La Coalition Avenir Québec vote contre la loi sur les hydrocarbures


 Publié le 18 janvier 2017
 

Le 19 décembre, 2016

La députée de Repentigny, Lise Lavallée regrette la façon dont la session a pris fin le 9 décembre dernier. En effet, le gouvernement Libéral a imposé le bâillon afin de procéder à l’adoption, avant les fêtes, de son projet de loi 106  sur les hydrocarbures.  En imposant un bâillon, le gouvernement a démontré son entêtement et son incapacité à entendre les Québécois.

Mme  Lavallée s’est dite préoccupée par le fait que le projet de loi 106 semble mettre la table à la reprise de l’exploration et à l’exploitation des gaz de schiste à la grandeur du Québec, et ce, malgré l’absence de consensus social à ce sujet. «La question du gaz de schiste soulève plusieurs inquiétudes environnementales, questions auxquelles le projet de loi 106 ne répond tout simplement pas. On nous dit que les vraies mesures d’encadrement viendraient dans d’éventuels règlements. Or il faudrait donner carte blanche au gouvernement et  espérer ensuite qu’il protège  nos nappes phréatiques et nos cours d’eau.» s’indigne la députée.

La députée de Repentigny regrette qu’avec ce projet de loi, le gouvernement Couillard ajoute de la bureaucratie inutile avec une nouvelle structure lourde et qu’une hausse des tarifs d’Hydro-Québec est envisagée. La CAQ avait d’ailleurs demandé au ministre de scinder en deux le projet de loi, afin de faire adopter rapidement la portion portant sur la transition énergétique, plus consensuelle, et permettre une étude plus détaillée de la portion portant sur les hydrocarbures. Demande rejetée par le gouvernement Libéral.

 «Le gouvernement a fait fi des demandes répétées par la CAQ et a plutôt choisi de continuer à agir avec arrogance et mépris dans un dossier préoccupant pour l’ensemble des citoyens et citoyennesde conclure madame Lavallée.

Une session qui se termine d’une très mauvaise façon.

L’hôpital Pierre-Le Gardeur en manque d’urgentologue?


 Publié le 18 janvier 2017
 

Le 22 décembre, 2016

Certains médias ont récemment fait état du fait que les nouvelles exigences de prise en charge de patients pour les médecins de famille augmentent la pression sur les urgentologues. L’hôpital Pierre-Le Gardeur ne ferait pas exception à cette règle.

Alors que l’urgence de notre hôpital se retrouve souvent en situation de débordement, on doit se questionner si, dans notre région, l’exigence du ministre Barrette d’imposer une prise en charge additionnelle de patients ne crée pas actuellement une pénurie de médecins à notre urgence.

«À la période du temps des Fêtes, alors qu’une tension s’installe dans plusieurs urgences du Québec, il y a lieu de se questionner», soulève Lise Lavallée députée de Repentigny.

En forçant les médecins à augmenter leur prise en charge, le ministre Barrette veut que de plus en plus de Québécois aient un médecin de famille et puissent ainsi éviter d’aller aux urgences. «Peut-on conclure que les urgences cesseront d’être débordées à court et moyen terme? J’en doute», souligne la députée.

«Pourquoi ne pas laisser les urgentologues faire le travail pour lequel ils ont acquis une expertise et ainsi permettre à nos citoyens et citoyennes qui se retrouvent à notre urgence d’obtenir un service dans un délai raisonnable. Est-ce trop demandé?», de conclure madame Lavallée.

La communauté repentignoise se mobilise pour la culture


 Publié le 18 janvier 2017
 

Le 12 janvier, 2017

Lise Lavallée, députée de Repentigny, est heureuse de la progression du dossier concernant la salle de spectacle de Repentigny. Récemment, le ministre de la Culture, monsieur Luc Fortin, appuyait la demande de subvention formulée par la Ville de Repentigny pour la construction d’une salle de spectacle, composante essentielle du projet d’Espace culturel de la municipalité.

«Cette étape importante dans la réalisation du projet n’aurait sans doute été possible sans l’implication directe de la communauté d’affaires et des organismes communautaires de la circonscription de Repentigny», relève la députée.

En effet, ces partenaires locaux ont cru au projet en contribuant massivement à la campagne de financement pour une somme de 2 millions de dollars. «Ces gestes volontaires que l’on peut qualifier de philanthropiques ont produit l’effet de levier escompté afin de convaincre le Ministre de l’importance de ce dossier pour notre région», souligne madame Lavallée.

«Quand une communauté se mobilise derrière un projet, qu’elle y croit et est même prête à prendre des engagements financiers importants pour en voir la réalisation, ces gestes ont de toute évidence un pouvoir d’influence sur des décisions gouvernementales. Je suis très fière, de nos femmes et hommes d’affaires et de nos organismes qui n’hésitent pas à mettre l’épaule à la roue lorsque l’on fait appel à eux pour le bien-être de la collectivité», de conclure la députée de Repentigny.