La députée Chantal Soucy rend hommage à l’haltérophile Tali Darsigny


 Publié le 12 décembre 2016
 

La députée de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a rendu hommage à l’haltérophile Tali Darsigny, dans une déclaration prononcée à l’Assemblée nationale.

« À 18 ans, cette athlète de Saint-Simon détient le titre de championne canadienne junior et a réussi à se hisser au premier rang de sa catégorie lors du championnat senior du Québec. Récemment, elle s’est envolée pour le Mexique dans le cadre du championnat mondial universitaire d’haltérophilie, où elle a fait tomber trois records canadiens juniors », a déclaré l’élue caquiste, au salon bleu.

Elle a également tenu à souligner l’excellence des résultats scolaires de la jeune haltérophile : « Ses performances impressionnent, tant au niveau sportif qu’académique. Étudiante en sciences de la nature au Cégep de Saint-Hyacinthe, Tali a récemment obtenu la bourse de la Fédération de l’athlète d’excellence du Québec, ainsi que deux distinctions de la Fondation Sports-Études pour ses résultats académiques et sportifs ».

De passage à l’Assemblée nationale pour assister à la déclaration, Tali Darsigny et sa mère, Kim Barré, ont pu profiter de l’occasion pour rencontrer leur députée et échanger avec elle. Lors de leur entretien, la rigueur et la persévérance de la jeune haltérophile ont marqué Chantal Soucy : « C’est une jeune femme qui a la tête sur les épaules. Elle est un véritable modèle pour nos enfants et ce fut un plaisir pour moi de discuter avec elle », a-t-elle affirmé, à l’issue de leur rencontre.

N’enseigner qu’une fraction du programme éducatif pour gonfler ses statistiques de réussite?


 Publié le 12 décembre 2016
 

Vous trouvez ça inacceptable? Moi aussi! C’est pourtant ce que demandent des commissions scolaires de la Beauce, de l’Estrie et de la Montérégie à leurs enseignants. Ce matin à l’Assemblée nationale, j’ai demandé au ministre d’envoyer une directive claire aux commissions scolaires pour que cessent de telles pratiques de nivellement par le bas, ce qu’il a refusé de faire.

Le député Schneeberger souligne le 25e anniversaire de la Maison des jeunes St-Charles-de-Drummond


 Publié le 12 décembre 2016
 

Le député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, a souligné le 25e anniversaire de la Maison des jeunes St-Charles-de-Drummond, le 9 décembre à l’Assemblée nationale. Cet organisme fondé par le Club Optimiste en 1991 a fait preuve de résilience pour surmonter de nombreux imprévus et les jeunes continuent d’y déborder d’imagination.

Ils et elles se sont intéressés aux arts, aux loisirs, aux saines habitudes de vie, à la lutte contre la criminalité et les dépendances. Ils se sont initiés à des sports comme le rafting, le wakeboard, la luge alpine, le kickboxing, la planche à neige ou le canot-camping. Ils ont publié un livre de recettes et un journal. Ils ont gagné des prix en lien avec Éduc’alcool, Cascades et le YMCA. Ils ont fait un défilé de mode, joué une pièce de théâtre et conçu des maisons hantées…

« Rien que depuis 2002, plus de 2000 jeunes ont fréquenté la Maison située sur le boulevard Saint-Charles à Drummondville, a déclaré le député. C’est un lieu chaleureux où les 12 à 17 ans se font des amis et nouent des liens significatifs avec des adultes. En recherche constante de relever de nouveaux défis, ils s’y retrouvent pour prendre en charge des besoins et réaliser des projets. Par exemple, dix jeunes ont tourné cette année une vidéo promotionnelle. Ils ont participé à toutes les étapes, de la conception à la réalisation, de cette production qui brise les stéréotypes à propos de leur milieu de vie. »

En terminant, M. Schneeberger a fait l’éloge du personnel. « Le cœur de cette Maison bat au rythme des animatrices qui accompagnent les ados dans leur cheminement pour devenir des citoyens critiques, actifs et responsables. Je tiens à remercier pour leur dévouement la coordonnatrice Amélie Leblond et les animatrices Méranie Roy, Karoline Girouard et Lanie Pivin. Je souhaite à l’organisme de posséder un jour son propre édifice. »

Assermentation du nouveau député d’Arthabaska : Une voix entrepreneuriale s’ajoute au caucus de la CAQ


 Publié le 12 décembre 2016
 

C’est avec beaucoup de fierté que le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a accueilli officiellement dans ses rangs le nouveau député d’Arthabaska, Éric Lefebvre, alors que ce dernier a été assermenté au Salon Rouge de l’Assemblée nationale.

Entrepreneur expérimenté et homme d’affaires respecté, généreux philanthrope, père de famille dévoué : Éric Lefebvre saura faire honneur à sa région et défendre le meilleur intérêt de ses commettants, a assuré François Legault. « Je suis très heureux d’accueillir Éric parmi nous ! C’est un homme qui a de grandes capacités et des qualités en or. Notre nouveau député est un homme d’affaires, qui connaît intimement les besoins et les défis du monde des affaires. Il incarne l’ambition, la détermination et la force de nos entrepreneurs qui gagnent, qui créent, qui développent. J’ai une réelle admiration pour lui. Je suis convaincu que, tous partis confondus, les députés sauront l’apprécier », a déclaré M. Legault.

Tout au long de sa campagne électorale, Éric Lefebvre a démontré qu’il est un leader rassembleur, qui misera sur les forces vives de toute sa communauté pour faire des gains, a poursuivi M. Legault. Il est persuadé que son nouveau député écoutera sa population et restera proche de leurs préoccupations. « Au jour 1 de sa campagne, il avait déjà rassemblé autour de lui plusieurs centaines de personnes de tous les horizons. Le résultat de cette élection a permis de convaincre quiconque qui douterait de ses grandes qualités de rassembleur. Éric est un père de famille, qui est proche de la réalité des Québécois. Sa conjointe, une femme remarquable, une fière enseignante, le garde proche des enjeux de l’éducation. C’est tout un homme de cœur qui se joint à notre équipe », s’est réjoui le chef caquiste, rappelant qu’Éric Lefebvre a mis sur pied plusieurs œuvres caritatives, notamment la Fondation Christian-Larochelle qui réalise les rêves d’enfants malades de sa région, en plus de soutenir la pédiatrie de l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska.

Très heureux de faire officiellement son entrée à l’Assemblée nationale au sein de la grande famille de la CAQ, Éric Lefebvre a réservé ses premiers mots aux citoyens d’Arthabaska. « Je suis habité par la fierté et le profond désir de vous servir. Je vis ce moment important en pensant à tous les Québécois d’Arthabaska-L’Érable. Je suis un passionné de notre région et la fonction de député me permettra d’accentuer mon implication. C’est une journée qui restera à jamais gravée dans ma mémoire », a-t-il affirmé, en compagnie d’une soixantaine de membres de sa famille, d’élus municipaux et de membres de son équipe de campagne.

« Je demeurerai à votre écoute. Sachez que je compte rester très accessible afin de travailler à développer notre région et l’amener vers son plein potentiel », a conclu le nouveau député caquiste.

Le PQ refuse de rembourser l’argent illégal : Jean-François Lisée doit des explications aux Québécois


 Publié le 12 décembre 2016
 

« Lorsqu’il est question d’éthique, le Parti libéral du Québec et le Parti québécois, c’est du pareil au même ! Le PQ a fait campagne avec de l’argent sale durant les élections partielles », a dénoncé le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, après avoir appris que la formation de Jean-François Lisée n’avait l’intention de rembourser que le tiers des 264 150 $ de ses contributions illégales.

Le PQ fait preuve d’une hypocrisie flagrante, poursuit-il. En refusant de rembourser tous les dons réclamés, les péquistes viennent d’admettre qu’ils ont fait campagne dans les 4 dernières élections partielles avec de l’argent sale. « Le PQ tente de gagner du temps en posant des questions, alors que les preuves sont irréfutables. Pendant ce temps, les Québécois comprennent que les pancartes péquistes ont été payées avec de l’argent sale et que Jean-François Lisée accepte de garder dans ses coffres des dons illégaux. À la CAQ, nous avons remboursé immédiatement les sommes identifiées par le DGEQ, sans broncher ou douter du montant de la réclamation. Même les libéraux, bien qu’ils aient tardé à le faire, ont signé leur chèque. Quand le PLQ fait mieux que toi en termes d’éthique, tu as de sérieuses questions à te poser ! » lance François Legault, rappelant que la CAQ a été la première formation politique à rembourser les contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ, soit 35 450 $.

De son côté, le critique caquiste en matière de réforme des institutions démocratiques, Benoit Charette, accuse le PQ d’avoir brisé un engagement pris dans l’enceinte même du Salon bleu de l’Assemblée nationale, haut lieu de la démocratie québécoise. En effet, il rappelle que le 28 septembre dernier, les députés péquistes se sont levés pour appuyer une motion de la CAQ réclamant le remboursement des dons illégaux collectés avant le déclenchement des prochaines élections partielles. Cette promesse a été brisée en mille morceaux, constate-t-il. « Pour sauver la face, le PQ a consenti à cette motion, en sachant très bien qu’il avait l’intention de faire campagne avec de l’argent sale. Jean-François Lisée vient de prouver une fois de plus qu’il mène un vieux parti, qui fait des promesses vides. Les Québécois ont vu clair dans leur jeu », peste le député de Deux-Montagnes.

Plus de transparence réclamée au DGEQ

La CAQ profite de cette sortie liée au remboursement des dons illégaux pour inviter le DGEQ à faire preuve de plus de transparence quant à son processus administratif. Selon Benoit Charette, il serait utile de divulguer l’ensemble des étapes à suivre et des procédures exigées, quel que soit le parti politique visé, allant de l’envoi de l’avis d’intention au traitement du paiement.

« Présentement, le tout s’avère être un processus flou et complexe. Dès la réception de l’avis jusqu’au paiement des sommes réclamées, on ne sait absolument rien des discussions et des accords conclus entre les différentes parties. Après la commission Charbonneau et tous les scandales de corruption, les Québécois s’attendent à des pratiques exemplaires à l’égard de la classe politique. Ils méritent plus de transparence, afin de s’assurer que l’ensemble de l’argent sale soit bien remboursé », a conclu le député caquiste.