La CAQ réclame la création d’un registre québécois des délinquants sexuels


 Publié le 18 novembre 2016
 

Pour endiguer la délinquance sexuelle en progression au Québec, la Coalition Avenir Québec propose la création d’un registre québécois public des délinquants sexuels récidivistes et à haut risque. Porte-parole de sa formation politique en matière de sécurité publique, André Spénard estime qu’il est temps d’adopter de nouvelles mesures pour protéger nos enfants et familles québécoises.

Le député caquiste dit qu’un tel outil est rendu nécessaire en raison de la croissance des cas de pédophilie et de l’utilisation d’Internet par de nombreux délinquants sexuels pour rejoindre les enfants. En 2015 seulement, il y a eu 1 636 infractions sexuelles contre des enfants au Québec, comparativement à 894 en Ontario, une tendance à la hausse chez nous depuis quelques années, souligne M. Spénard. Pour lutter contre la délinquance sexuelle, la CAQ propose ainsi la mise sur pied d’un registre public, comparable à ceux d’autres provinces canadiennes.

« Il s’agit avant tout d’un outil de prévention. L’objectif est de prévenir les crimes, de s’assurer que les délinquants récidivistes respectent leurs conditions de libération. Malgré le travail remarquable et la bonne foi de nos policiers, ils ne peuvent être partout à la fois et veiller au bien-être de toutes les familles. Le fait de tenir un tel registre apportera un soutien aux policiers et un réconfort aux parents, puisqu’on sera en mesure de garder à l’œil les délinquants sexuels libérés. Au Québec, on perd la trace de 26 % d’entre eux, alors qu’en Ontario, c’est seulement 4 %. Ajoutez à cela le fait que près d’un récidiviste québécois sur quatre risque de commettre de nouveau un acte à caractère sexuel. C’est troublant ! Il faut protéger les victimes. Et pour ça, ça nous prend un registre », déclare André Spénard, qui reçoit l’appui de Sophie Dupont, fondatrice du mouvement Protection enfants contre agressions sexuelles (PECAS), et de Me Marc Bellemare, ancien ministre libéral de la Justice.

Le registre proposé par la CAQ serait partiellement accessible au public, indique le député caquiste. Il contiendra uniquement le nom, la photo, les trois premiers caractères du code postal et l’historique du dossier criminel de chaque prédateur récidiviste considéré à haut risque. André Spénard évalue qu’environ 20 % des délinquants seraient ciblés par cette mesure.

« Le gouvernement libéral doit dire oui à cette volonté populaire, car les Québécois sont en droit de savoir si des agresseurs sexuels récidivistes habitent dans leur voisinage par exemple, pour protéger leurs proches et vivre en toute tranquillité d’esprit. Une agression sexuelle, particulièrement sur un mineur, détruit à jamais une vie. Aujourd’hui, ces informations sont très difficiles à obtenir, voire impossibles. La seule façon de les connaître, c’est qu’elles fassent partie d’un registre public », conclut le député de Beauce-Nord, qui invite les Québécois à signer en grand nombre une pétition au www.pourunregistre.com.

Élection partielle dans Saint-Jérôme : Bruno Laroche s’engage à obtenir le financement pour l’agrandissement de l’UQO


 Publié le 18 novembre 2016
 

Le candidat de la CAQ pour Saint-Jérôme, Bruno Laroche, s’engage à travailler de concert avec le maire de Saint-Jérôme, Stéphane Maher, pour que le gouvernement du Québec octroie enfin le financement nécessaire pour l’agrandissement du pavillon de l’Université du Québec en Outaouais. Pour le candidat caquiste, le pavillon de Saint-Jérôme est le principal pôle universitaire des Laurentides et il doit être financé comme tel.

Accompagné du député de Chambly et porte-parole de la CAQ en éducation, Jean-François Roberge, le candidat caquiste a rappelé qu’initialement, l’édifice a été construit en fonction d’accueillir 1000 étudiants à temps plein. Six ans après sa construction, le campus de l’UQO accueille près de deux fois plus d’étudiants que sa capacité d’accueil prévue. « Cela a pour conséquence que l’UQO est forcé de contingenter certains programmes et s’empêchent d’en ouvrir d’autres. C’est inacceptable! Le pavillon lutte contre l’exode des jeunes. Ils sont notre plus grande richesse collective. Il est donc vital que la planification de l’agrandissement de l’UQO soit étudiée en fonction des besoins de la région et de Saint-Jérôme sur une plus longue période. Le maire Maher peut compter sur mon appui afin que ce dossier essentiel se concrétise le plus rapidement possible », a-t-il expliqué.

La jeunesse, notre plus grande richesse

Le député de Chambly, Jean-François Roberge, a pour sa part rappelé que la CAQ a proposé des mesures ambitieuses en éducation au cours de la dernière année. Il en a profité pour écorcher au passage les trop nombreux ministres de l’éducation qui se sont succédés au cours des derniers mois. « L’éducation, c’est la fondation d’une société en santé. Quand je vois le gouvernement couper dans les services aux élèves en difficulté, quand je vois l’état lamentable de nos écoles, cela renforce ma volonté de me battre pour que la situation change. La CAQ propose d’offrir la prématernelle 4 ans pour tous les enfants du Québec dans un avenir rapproché. Ça, ça s’appelle avoir de l’ambition pour nos jeunes. Et j’ai besoin de Bruno à mes côtés à l’Assemblée nationale pour mener cette bataille et les autres pour nos jeunes », a conclu Jean-François Roberge.

Élection partielle dans Verdun : Ginette Marotte souhaite un poste de police satellite à l’Île-des-Soeurs


 Publié le 18 novembre 2016
 

La candidate de la CAQ pour le comté de Verdun, Ginette Marotte, s’engage à travailler étroitement avec l’administration municipale de Montréal et de Verdun pour faciliter l’implantation d’un poste de police satellite sur l’Île-des-Sœurs une fois élue le 5 décembre prochain. La candidate caquiste soutient qu’il s’agit là d’une demande plus que  légitime des résidents de l’île qui souhaitent vivre en toute quiétude.

Ginette Marotte explique qu’avec les travaux de construction du pont Champlain et de ses abords, les entrées et les sorties de l’île des Sœurs seront de plus en plus problématiques. Il devient donc essentiel de développer un sentiment de sécurité chez les résidents de l’Île-des-Soeurs. « Ce sentiment de sécurité passe en grande partie par une présence policière accrue et par la mise en place d’un poste de police satellite sur l’Île-des-Sœurs », indique Mme Marotte.

La candidate de la CAQ ajoute que le Centre Elgar serait le meilleur endroit pour y établir ce poste. « C’est situé au coeur de l’île! Un tel poste permettrait des interventions plus rapides et une meilleure présence policière dans le contexte des travaux du nouveau pont Champlain. Les voitures de police n’auront plus à quitter la terre ferme et zigzaguer dans la congestion pour intervenir sur l’île », soutient la candidate.

Élection partielle dans Arthabaska : Registre des délinquants sexuels, Éric Lefebvre veut poursuivre le travail de Sylvie Roy


 Publié le 18 novembre 2016
 

Le candidat de la Coalition Avenir Québec dans Arthabaska, Éric Lefebvre, a fait sienne la décision de son parti de réclamer la création d’un registre public national des délinquants sexuels. Cette prise de position d’Éric Lefebvre s’inscrit dans sa démarche de poursuite des revendications majeures de Sylvie Roy.

Dès le 6 décembre prochain, s’il est élu dans Arthabaska-L’Érable, M. Lefebvre travaillera de concert avec ses collègues André Spénard, député de Beauce-Nord, et Nathalie Roy, députée de Montarville, afin que le Québec se dote de cet outil de protection de nos enfants.

« Ce n’est pas d’hier que mon amie Sylvie Roy a milité pour la création d’un tel registre public des délinquants sexuels. Ce sera une façon pour moi de perpétuer son œuvre en poussant un dossier qui lui tenait à coeur. Nos enfants sont notre richesse et nous devons les protéger. En tant que père de famille, je tiens à ce que mes enfants soient en sécurité », a affirmé M. Lefebvre.

Outil de prévention

Le député de Beauce-Nord et porte-parole de la CAQ en matière de sécurité publique, André Spénard, soutient que le taux moyen de récidive chez les délinquants sexuels s’établit à 24 % sur une période de suivi de 15 ans. « On sait donc qu’un récidiviste sur quatre va commettre de nouveau un acte à caractère sexuel. Il faut dire qu’au Québec, on perd la trace d’environ 26 % de nos délinquants sexuels libérés, contre 4 % en Ontario », a expliqué M. Spénard.

La députée de Montarville, Nathalie Roy, explique pour sa part que l’objectif est de prévenir les crimes. « Nous devons nous assurer que les délinquants récidivistes respectent leurs conditions de libération. Malgré la bonne foi des policiers, ils ne peuvent pas être partout et le fait d’avoir un registre aura pour effet d’éviter des crimes. Vous savez, lorsqu’un délinquant sexuel récidiviste est libéré et qu’il est dangereux, qui veut-on protéger le plus, les victimes potentielles ou les délinquants? Nous, on veut protéger les citoyens », a-t-elle indiqué.
La Coalition Avenir Québec invite la population à signer la pétition en ligne demandant la création d’un registre public national des délinquants sexuels au www.pourunregistre.com.