La députée Chantal Soucy rend hommage au Cégep de Saint-Hyacinthe


 Publié le 28 septembre 2016
 

Le 27 septembre dernier, la députée Chantal Soucy a rendu hommage au Cégep de Saint-Hyacinthe dans une allocution prononcée à l’Assemblée nationale.

« Malgré les coupures dans le système d’éducation, le Cégep de Saint-Hyacinthe a toujours su maintenir, voire même améliorer la qualité de ses infrastructures et de ses ressources. Avec son service d’aide à l’intégration des élèves, son programme d’appoint pour la reconnaissance des diplômes obtenus à l’étranger et sa passe écolo qui permet aux étudiants de bénéficier d’un accès gratuit au transport collectif, pas étonnant que le Cégep de Saint-Hyacinthe affiche une augmentation de 68 % de son taux d’admission depuis 2007 ! » a souligné au salon bleu l’élue caquiste.

Elle a également tenu à saluer le travail des administrateurs et des enseignants de l’établissement qui, par leur volonté d’innover, stimulent l’intérêt des jeunes pour les études supérieures et font du Cégep de Saint-Hyacinthe une fierté régionale.

Trois représentants de l’institution s’étaient déplacés pour l’occasion : M. Roger Sylvestre, directeur général, M. Pierre Leblanc, directeur des études et de la vie étudiante, ainsi que Mme Véronique Blain, directrice du Service des communications et des affaires corporatives. Ils ont pu profiter de cette opportunité pour visiter l’Assemblée nationale, rencontrer leur députée et assister à la période de questions.

La CAQ demande le retrait de Laurent Lessard du Conseil des ministres


 Publié le 28 septembre 2016
 

Devant les nouvelles révélations à l’égard de subventions gouvernementales accordées à une entreprise qui emploie la conjointe du ministre actuel des Transports, la Coalition Avenir Québec demande à Laurent Lessard de se retirer de ses fonctions ministérielles, le temps que le Vérificateur général fasse toute la lumière sur tous les dossiers l’impliquant.

Le Journal de Québec a révélé mercredi matin que des millions en subventions ont été attribués par le ministère des Affaires municipales au Groupe ressources techniques Beauce-Appalaches (GRTBA), qui emploie la conjointe du ministre Laurent Lessard, entre 2011 et 2012. Durant cette même période, le ministre dirigeait ce ministère. Pyrobiom, Mont Adstock, Innoltek et maintenant GRTBA : pour le porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière de justice, Simon Jolin-Barrette, l’accumulation des controverses visant le ministre n’est plus tolérable. Elles minent nos institutions et la confiance des citoyens envers leurs élus. Pour cette raison, la CAQ réclame le retrait immédiat de M. Lessard du Conseil des ministres et une enquête Vérificateur général.

« Partout où les amis et la famille du ministre des Transports sont présents, c’est garant de l’obtention de subventions du gouvernement. Personne n’a accès aussi facilement aux subventions que l’entourage du ministre! Cela soulève de sérieuses questions. Nous sommes passés d’un ministre des Transports qui était constamment dans la tourmente à un autre ministre de la Tourmente. Le ministère des Transports a besoin d’un ministre qui va se consacrer à temps plein à redresser le ministère », a déclaré le député de Borduas.

Le gouvernement Couillard est marqué au fer rouge pour son manque de jugement et d’intégrité, a poursuivi le caquiste. Philippe Couillard ne peut continuer et défendre l’indéfendable. Il doit prouver aux Québécois que le respect des règles d’éthique et d’intégrité est au cœur de son engagement politique. « Le premier ministre n’est pas le moindrement intéressé par les histoires qui s’accumulent autour de son ministre des Transports. Il a le mauvais réflexe. Quand le premier ministre va-t-il mettre fin à la gouvernance avec une éthique élastique? » a conclu Simon Jolin-Barrette.

Réduisons dès maintenant le nombre d’appareils de loterie vidéo, réclame François Legault


 Publié le 28 septembre 2016
 

Talonné par le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, le premier ministre s’est finalement rendu à l’évidence et a accepté que les 375 appareils de loterie vidéo actuellement non utilisés ne soient pas replacés. Malgré cette avancée, Philippe Couillard a refusé de garantir le respect de la limite de 5 machines par établissement, comme c’est le cas depuis nombre d’années au Québec.

M. Legault a rappelé que la CAQ propose depuis plusieurs mois le retrait de 1 600 appareils de loterie vidéo en circulation dans les bars et un meilleur contrôle sur la location de ceux-ci en milieux défavorisés. Il est temps de cesser d’exploiter la misère humaine par l’entremise de ces machines, qui appauvrissent les Québécois et encouragent le jeu pathologique, a plaidé le chef caquiste.

« Les drames humains causés par ces appareils sont connus et maintenant très bien documentés. Des mères, des pères se ruinent pour jouer. Le gouvernement nous a dit le printemps dernier qu’il était ouvert à notre suggestion, mais encore une fois, il dit une chose et fait le contraire. On apprend qu’il va laisser Loto-Québec ne pas respecter la limite de 5 appareils par établissement… une limite que s’est pourtant fixée le Québec depuis plusieurs années. Il faut agir pour réduire ces appareils de loterie vidéo qui brisent des vies », a déclaré François Legault.

Le député de L’Assomption a qualifié ces machines de loterie vidéo de véritable fléau social, un cancer pour la société. « Nous sommes tous responsables d’avoir toléré ces appareils de loterie vidéo pendant des années. Maintenant, il faut agir. Des personnes dépensent toutes leurs économies et celles de leur famille dans ces machines. Le premier ministre a eu quelques jours de réflexion pour se faire un jugement. Est-ce que le premier ministre peut-il faire preuve de leadership et nous assurer que la limite de 5 appareils par bar sera respectée? » a tenté de savoir François Legault.

Projet Optilab : La CAQ réclame un moratoire


 Publié le 28 septembre 2016
 

Alors que le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, a été incapable de garantir qu’aucun échantillon envoyé dans des laboratoires ne sera perdu avec son projet Optilab, le critique caquiste et député de Lévis, François Paradis, a réclamé un moratoire sur cette vaste centralisation des laboratoires.

Des dizaines de municipalités et de MRC, ainsi que des milliers d’employés et de patients, s’inquiètent des conséquences du projet Optilab mis sur pied par les libéraux, a indiqué François Paradis. Des centaines de techniciens perdront leurs emplois dans toutes les régions du Québec, des postes pourtant essentiels puisque ce sont ces personnes qui donnent des services directs à la population. C’est le cas notamment à l’hôpital Sainte-Justine pour enfant, dans Chaudière-Appalaches, en Beauce, dans les Laurentides à l’hôpital régional de Saint-Jérôme, au Centre-du-Québec à l’Hôtel-Dieu d’Arthabaska, sur la Côte-Nord et dans bien d’autres régions. C’est simple : Optilab comporte actuellement trop de risques et d’inconnus pour être déployé, a estimé M. Paradis.

« Optilab, c’est une multiplication des risques d’erreurs et de pertes d’échantillons qui devront parcourir de longues distances, ce qui pourrait entrainer des retards et des reprises de tests pour les patients. Imaginez que la livraison d’échantillons de patients entre Drummondville vers Trois-Rivières soit compromise en raison d’une tempête de neige! Imaginez une erreur de manipulation qui fait qu’un laboratoire se retrouve avec les mauvais tests! Le ministre de la Santé tente de se faire rassurant, mais dans les faits, des patients, des employés et des municipalités en région ont de très nombreuses questions qui demeurent sans réponse », a déclaré le député de la CAQ.

Lors de la période des questions, Gaétan Barrette n’a pas été en mesure de confirmer non plus qu’avec Optilab, aucun patient ne sera forcé de reprendre un examen. Ces manques d’engagements et de garanties démontrent à quel point sa réforme n’est pas mûre, a souligné François Paradis. « Les inquiétudes sont légitimes et le ministre ne fait que les minimiser. Il ne veut pas reconnaître qu’il y a des risques graves et que des centaines d’emplois seront perdus. Si le ministre est incapable de répondre à toutes les inquiétudes soulevées, il doit annoncer un moratoire le temps de trouver toutes les réponses », a conclu le député de Lévis.

Ginette Marotte craint que le PLQ et le PQ fassent campagne avec de l’argent sale


 Publié le 28 septembre 2016
 

Alors qu’une fois de plus, le Parti québécois et le Parti libéral du Québec ont refusé de s’engager formellement à rembourser les sommes collectées illégalement, la candidate de la CAQ pour l’élection partielle dans Verdun, Ginette Marotte, craint que le PLQ et le PQ entendent faire les prochaines élections partielles avec de l’argent sale.

« Le coup de départ de l’élection partielle sera donné sous peu et nos adversaires libéraux et péquistes ont encore de l’argent sale qui dort dans leurs coffres. À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole. Pourquoi les deux vieux partis refusent-ils de rembourser ces sommes considérables? Il est temps de leur donner une véritable leçon lors de l’élection partielle », soutient Mme Marotte.

Rappelons que dans les lettres de réclamations envoyées cet été, le Directeur général des élections du Québec a épinglé le PLQ pour des dons illégaux de 500 000 $, versés entre 2006 et 2011. Pour le PQ, la note s’élève à 250 000 $. « Une élection, ça doit se gagner proprement. Pas avec de l’argent sale. C’est ce que la population souhaite des partis politiques qui les représentent. Attaquons-nous au cynisme. J’invite Philippe Couillard et Sylvain Gaudreault à envoyer un message clair. Le Parti libéral et le Parti Québécois doivent rembourser l’argent ramassé illégalement avant la tenue des élections partielles. La CAQ a d’ailleurs déposé aujourd’hui une motion à l’Assemblée nationale demandant au PLQ et au PQ de prendre leur responsabilité et de rembourser les sommes dues avant les élections partielles », insiste pour sa part le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Marc Bourcier et Naömie Goyette doivent promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent sale


 Publié le 28 septembre 2016
 

Alors qu’une fois de plus, le Parti québécois et le Parti libéral du Québec ont refusé de s’engager formellement à rembourser les sommes collectées illégalement, le candidat de la CAQ pour l’élection partielle dans Saint-Jérôme, Bruno Laroche, demande à ses adversaires de promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent sale. Pour Bruno Laroche, il est clair que tant le PQ que le PLQ entendent faire les prochaines élections partielles avec de l’argent collecté illégalement.

« Le coup de départ de l’élection partielle sera donné sous peu et les libéraux et les péquistes ont encore de l’argent sale qui dort dans leurs coffres. À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole. Marc Bourcier et Naömie Goyette doivent assurer aux citoyens de Saint-Jérôme qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent collecté illégalement. Pourquoi les deux vieux partis refusent-ils de rembourser ces sommes considérables? Nous avons droit à des réponses de leur part. Il est temps de donner une véritable leçon aux deux vieux partis lors de l’élection partielle », soutient M. Laroche.

Rappelons que dans les lettres de réclamations envoyées cet été, le Directeur général des élections du Québec a épinglé le PLQ pour des dons illégaux de 500 000 $, versés entre 2006 et 2011. Pour le PQ, la note s’élève à 250 000 $. « Une élection, ça doit se gagner proprement. Pas avec de l’argent sale. C’est ce que la population souhaite des partis politiques qui les représentent. Attaquons-nous au cynisme. J’invite Philippe Couillard et Sylvain Gaudreault à envoyer un message clair. Le Parti libéral et le Parti Québécois doivent rembourser l’argent ramassé illégalement avant la tenue des élections partielles. La CAQ a d’ailleurs déposé aujourd’hui une motion à l’Assemblée nationale demandant au PLQ et au PQ de prendre leur responsabilité et de rembourser les sommes dues avant les élections partielles », insiste pour sa part le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Catherine Fournier et Normand Parisien doivent promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent sale


 Publié le 28 septembre 2016
 

Alors qu’une fois de plus, le Parti québécois et le Parti libéral du Québec ont refusé de s’engager formellement à rembourser les sommes collectées illégalement, la candidate de la CAQ pour l’élection partielle dans Marie-Victorin, Julie Chapdelaine, demande à ses adversaires de promettre qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent collecté illégalement. Pour Julie Chapdelaine, il est clair que tant le PQ que le PLQ entendent faire les prochaines élections partielles avec de l’argent sale.

« Le coup de départ de l’élection partielle sera donné sous peu et nos adversaires libéraux et péquistes ont encore de l’argent sale qui dort dans leurs coffres. À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole. Catherine Fournier et Normand Parisien doivent assurer aux citoyens de Marie-Victorin qu’ils ne feront pas campagne avec de l’argent collecté illégalement. Pourquoi les deux vieux partis refusent-ils de rembourser ces sommes considérables? Nous avons droit à des réponses de leur part. Il est temps de donner une véritable leçon aux deux vieux partis lors de l’élection partielle », soutient Mme Chapdelaine.

Rappelons que dans les lettres de réclamations envoyées cet été, le Directeur général des élections du Québec a épinglé le PLQ pour des dons illégaux de 500 000 $, versés entre 2006 et 2011. Pour le PQ, la note s’élève à 250 000 $. « Une élection, ça doit se gagner proprement. Pas avec de l’argent sale. C’est ce que la population souhaite des partis politiques qui les représentent. Attaquons-nous au cynisme. J’invite Philippe Couillard et Sylvain Gaudreault à envoyer un message clair. Le Parti libéral et le Parti Québécois doivent rembourser l’argent ramassé illégalement avant la tenue des élections partielles. La CAQ a d’ailleurs déposé aujourd’hui une motion à l’Assemblée nationale demandant au PLQ et au PQ de prendre leur responsabilité et de rembourser les sommes dues avant les élections partielles », insiste pour sa part le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault.

Dons illégaux : Les libéraux refusent de rembourser l’argent sale avant les élections partielles


 Publié le 28 septembre 2016
 

Les libéraux ont refusé d’appuyer une motion de la CAQ réclamant de leur part le remboursement des dons illégaux collectés entre 2006 et 2011, et ce, avant le déclenchement des prochaines élections partielles. Visé par le Directeur général des élections (DGE) d’un avis de réclamation de 500 000 $, le Parti libéral semble ne pas avoir de problème à faire campagne dans les prochains mois dans Saint-Jérôme, Arthabaska, Verdun et Marie-Victorin sans avoir remboursé l’argent sale recueilli illégalement, a constaté le chef de la CAQ, François Legault.

« On ne peut pas se permettre d’avoir des partis politiques qui font campagne avec de l’argent sale dans leurs coffres. C’est une question de principe! Tout comme la CAQ, le PLQ a sa part de responsabilité afin que les Québécois aient droit à une démocratie en santé. Pour cela, il doit rembourser les contributions illégales et cesser de trouver des excuses auprès du DGEQ. C’est simple : le chèque de remboursement doit être signé avant le déclenchement des élections partielles. Un des défis lors de ces élections partielles sera de surmonter le cynisme de la population à l’égard de la classe politique. Il faut que les partis politiques donnent l’exemple pour surmonter ce cynisme. Qu’attendent les libéraux pour se conformer à la loi? Se croient-ils au-dessus de celle-ci? Une élection, ça doit se gagner proprement, pas avec de l’argent sale », a tonné François Legault.

Le député Benoit Charette, critique caquiste en matière de réforme des institutions démocratiques, a rappelé que la CAQ est la seule formation politique à avoir officiellement remboursé, en août dernier, les 35 450 $ identifiés par le DGEQ dans un avis d’intention de réclamation, relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ.

« À la CAQ, nous avons été clairs dès le début : nous rembourserons toute somme réclamée relativement à des contributions illégales versées antérieurement à l’ADQ. Nous sommes les seuls à avoir tenu parole, en payant dès le mois d’août les 35 450 $ que nous a réclamés le DGEQ. Les libéraux et les péquistes : pas un seul sou. Plus le temps passe et plus leur réticence à rembourser est inquiétante. À la toute dernière minute, le PQ a accepté d’appuyer notre motion et vient donc de s’engager formellement à rembourser 250 000 $ en dons illégaux avant le début des élections partielles. Nous aurons les péquistes à l’œil, soyez-en assuré. Finis les vérifications, fini de se laver les mains des actions de son parti. Tous doivent passer à la caisse. C’est la confiance des Québécois et le bon fonctionnement de notre démocratie qui sont en jeu », a insisté Benoit Charette.