Debout pour le Québec : François Legault lance sa tournée du Québec


 Publié le 9 août 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a donné mardi le coup d’envoi à sa tournée régionale qui le mènera dans une cinquantaine de circonscriptions à travers le Québec. Intitulée «Debout pour le Québec», cette tournée lui permettra d’aller directement à la rencontre des citoyens.

Le chef de la CAQ a expliqué qu’il invitera les citoyens à se poser une question fondamentale : est-ce que le Québec va mieux aujourd’hui que lors de l’arrivée du Parti libéral au pouvoir en 2003? « Je constate, après plus d’une décennie de règne du Parti libéral, que nous pouvons faire mieux pour l’économie, pour les services aux élèves dans les écoles et pour défendre notre identité québécoise. Le Québec peut faire mieux. Plus que jamais, le Québec a besoin de leadership », a-t-il affirmé.

Au fil des semaines, le message qu’il entend donc marteler aux Québécois qu’il croisera la nécessité de se tenir debout face aux libéraux. «Que ce soit pour réduire les impôts des Québécois, pour offrir à tous les enfants de 4 ans la prématernelle, pour la création de bons emplois dans toutes les régions du Québec ou pour défendre notre langue et nos valeurs, il faut que la politique retrouve sa première vocation, celle de servir les citoyens. Il faut se tenir debout pour le Québec », a-t-il ajouté.

M. Legault a de nouveau invité les Québécois à se rassembler derrière la CAQ pour mettre fin au monopole libéral lors des prochaines élections. « On en a assez des vieux partis et des vieilles chicanes. Ce sera mon message partout où j’irai : la CAQ est l’alternative pour remplacer les libéraux. Le seul parti qui peut rassembler les Québécois et relancer le Québec. Pour y arriver, nous devons nous tenir debout pour le Québec! », a-t-il conclu.

Debout pour le Québec : François Legault lance sa tournée du Québec


 Publié le 9 août 2016
 

Le chef de la Coalition Avenir Québec, François Legault, a donné mardi le coup d’envoi à sa tournée régionale qui le mènera dans une cinquantaine de circonscriptions à travers le Québec. Intitulée «Debout pour le Québec», cette tournée lui permettra d’aller directement à la rencontre des citoyens.

Le chef de la CAQ a expliqué qu’il invitera les citoyens à se poser une question fondamentale : est-ce que le Québec va mieux aujourd’hui que lors de l’arrivée du Parti libéral au pouvoir en 2003? « Je constate, après plus d’une décennie de règne du Parti libéral, que nous pouvons faire mieux pour l’économie, pour les services aux élèves dans les écoles et pour défendre notre identité québécoise. Le Québec peut faire mieux. Plus que jamais, le Québec a besoin de leadership », a-t-il affirmé.

Au fil des semaines, le message qu’il entend donc marteler aux Québécois qu’il croisera la nécessité de se tenir debout face aux libéraux. «Que ce soit pour réduire les impôts des Québécois, pour offrir à tous les enfants de 4 ans la prématernelle, pour la création de bons emplois dans toutes les régions du Québec ou pour défendre notre langue et nos valeurs, il faut que la politique retrouve sa première vocation, celle de servir les citoyens. Il faut se tenir debout pour le Québec », a-t-il ajouté.

M. Legault a de nouveau invité les Québécois à se rassembler derrière la CAQ pour mettre fin au monopole libéral lors des prochaines élections. « On en a assez des vieux partis et des vieilles chicanes. Ce sera mon message partout où j’irai : la CAQ est l’alternative pour remplacer les libéraux. Le seul parti qui peut rassembler les Québécois et relancer le Québec. Pour y arriver, nous devons nous tenir debout pour le Québec! », a-t-il conclu.

Pitbulls : la sécurité de la population avant tout


 Publié le 9 août 2016
 

La porte-parole de la Coalition Avenir Québec en matière d’agriculture, de pêcheries et d’alimentation et députée de Mirabel, Sylvie D’Amours soupçonne le gouvernement libéral de vouloir reculer dans le dossier de l’interdiction des pitbulls, à la lumière des informations contenues dans un rapport préliminaire dévoilé dans les médias.

Sylvie D’Amours rappelle que la position de la Coalition Avenir Québec n’a pas changé depuis juin dernier : il faut interdire la possession de pitbulls afin d’éviter des drames comme celui qui a coûté la vie à une Montréalaise ce printemps. En revanche, elle dénonce l’inaction des libéraux et les accuse encore une fois d’avoir voulu gagner du temps en mettant sur pied un comité de réflexion. «On en a vu de toutes les couleurs avec le gouvernement libéral dans ce dossier: hésitation, contradictions, improvisation. Quand va-t-il comprendre que ce que les Québécois veulent, c’est se sentir en sécurité? Que ce qu’ils souhaitent, c’est de l’action, pas des consultations?, s’interroge-t-elle.

Sylvie D’Amours attend avec impatience la publication du rapport final, qui doit être remis le 31 août au ministre de la Sécurité publique. Elle et son équipe travaillent toujours sur le dossier et sont impatients de pouvoir en débattre avec le gouvernement.

« Pourquoi le ministre Paradis tient-il à cacher l’identité de nos aliments? »


 Publié le 9 août 2016
 

La députée Sylvie D’Amours est choquée d’apprendre que l’indication « Produit du Québec » n’est plus obligatoire pour nos producteurs agricoles et nos détaillants. La députée de Mirabel déplore le manque de leadership du gouvernement et demande au ministre de cesser de jouer à « Où est Charlie? » et de revenir sur cette décision afin de démontrer de l’ambition pour notre industrie agroalimentaire.

« Nos agriculteurs doivent se sentir appuyés par le gouvernement et les consommateurs doivent avoir les outils nécessaires pour facilement repérer les aliments québécois dans les étalages. Le rejet de la mention « Produit du Québec » pour nos aliments brise ce lien de confiance et démontre le peu d’importance qu’accorde le gouvernement à l’économie agricole. D’autant plus que les aliments provenant d’autres régions comme l’Ontario ou les États-Unis auront leurs propres indications pour leurs produits », indique Sylvie D’Amours.

Pendant que le ministre Paradis commande puis décommande un sommet de l’alimentation, la Coalition Avenir Québec se fait une priorité de défendre l’agriculture québécoise et continue d’être le véritable porte-étendard des enjeux agroalimentaires. « Nous avions l’occasion de mettre en valeur notre garde-manger et d’encourager l’économie de nos agriculteurs et de nos régions, et nous avons décidé de les laisser à eux-mêmes. Monsieur Paradis, il est temps de revenir sur terre et de constater que notre identité est tout aussi importante sur nos aliments que sur nos passeports », conclut Sylvie D’Amours.