Autoroute Laurentienne : Une victoire de la CAQ au profit des gens de Québec
Publié le 23 juin 2016
Le député de Lévis pour la Coalition Avenir Québec, François Paradis, a qualifié de « grande victoire pour la CAQ au profit des gens de Québec », le recul du gouvernement libéral dans sa volonté d’imposer une voie réservée sur l’autoroute Laurentienne. Il a de plus salué la mobilisation citoyenne et le travail de plusieurs médias d’opinion dans la région de Québec, qui ont contribué à faire fléchir les libéraux.
Rappelant que le transport en commun et les voitures électriques sont à peu près inexistants sur cette autoroute, François Paradis a déclaré que les libéraux ont fait la démonstration, au cours des derniers mois, qu’ils étaient « complètement déconnectés de la réalité quotidienne des gens de Québec, notamment des jeunes familles qui s’établissent en banlieue et qui n’ont d’autres choix que d’utiliser la voiture pour se rendre au travail ».
Un gouvernement libéral usé et déconnecté
« Nous faisons face à un gouvernement libéral usé et déconnecté, au pouvoir depuis 13 ans de manière quasiment ininterrompue. Grâce à la mobilisation citoyenne, à la pression faite par plusieurs médias dans la région et aux différentes interventions de mon collègue député de La Peltrie, Éric Caire, nous avons fait reculer les libéraux. Plus que jamais, la CAQ démontre son efficacité. Notre équipe est aguerrie et fait bouger les choses. La prochaine étape, c’est de remplacer ce gouvernement en 2018 pour s’assurer que les préoccupations citoyennes soient comprises aux plus hauts niveaux sans toute cette tergiversation », a ajouté François Paradis.
Rappelons qu’il y a deux semaines, la CAQ dévoilait des courriels internes du Ministère des Transports du Québec démontrant que le dossier de l’élargissement de l’autoroute Laurentienne a été une véritable comédie d’erreurs du gouvernement libéral. Pour François Paradis, c’est cette sortie qui, en bout de ligne, aura fait bouger les choses. « Une fois la désorganisation et l’improvisation des libéraux étalées sur la place publique, ça devenait intenable pour eux de persister avec leur voie réservée », a conclu M. Paradis.