Journée internationale des travailleuses et travailleurs
Publié le 2 mai 2019
En cette Journée internationale des travailleuses et travailleurs, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie, M. Jean Boulet, souligne l’importante contribution des travailleuses et travailleurs au développement social et économique du Québec.
Le ministre profite de l’occasion pour rappeler qu’à compter d’aujourd’hui, le taux général du salaire minimum est porté à 12,50 $ l’heure, ce qui représente une hausse de 0,50 $. Cette augmentation de 4,17 % fait passer le ratio entre le salaire minimum et le salaire horaire moyen à 0,50 dès 2019-2020 et profitera à 288 200 salariés, dont 167 700 femmes.
« Les efforts menés par les travailleuses et travailleurs au fil des ans ont permis d’améliorer la qualité de vie ainsi que la santé et la sécurité au travail de millions de personnes partout au Québec. Mon gouvernement s’est engagé à façonner un marché du travail toujours plus inclusif, plus sécuritaire et plus solidaire. Puisque la main-d’œuvre est au cœur de notre économie et que les défis que nous devons actuellement relever sont grands, la hausse du salaire minimum est un exemple concret de cet engagement. », a déclaré Jean Boulet, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale et ministre responsable de la région de la Mauricie.
Faits saillants :
- Le 1er mai 2019, le taux général du salaire minimum passe à 12,50 $ l’heure (+0,50 $), le salaire minimum payable aux salariés rémunérés au pourboire s’établit à 10,05 $ l’heure (+0,25 $) et celui des cueilleurs de framboises ou de fraises passe respectivement à 3,71 $ (+0,15 $) et à 0,99 $ (+0,04 $) du kilogramme.
- En augmentant le salaire minimum à 12,50 $ l’heure, le gouvernement du Québec relève ainsi le ratio entre le salaire minimum et le salaire horaire moyen à 0,50, et ce, pour la période 2019-2020. Le pouvoir d’achat des salariés à faible revenu ainsi que leur participation à l’enrichissement collectif sont donc accrus, et l’équilibre qui doit être maintenu pour que les entreprises demeurent compétitives est préservé.